Pour ceux qui ont oublié, petit rappel des faits…
L’HOMME QUI RUINA LA FRANCE
Quand un homme politique meurt, la bienséance veut qu’on ne se rappelle que de ses qualités.
En revanche, le temps du respect semble être révolu et vous trouverez dans l’interminable colonne ci-dessous tous les détails de ce que l’on peut reprocher à F. Mitterrand !
Et la liste est d’autant plus longue que la mise en forme bizarre est étroite !
L’HOMME QUI RUINA LA FRANCE.
Un petit rappel du passé et des 14 années de POUVOIR de François MITTERRAND dont on vient de fêter en grande pompe le vingtième anniversaire de sa mort.
Il fut tout d’abord l’homme des « suicides », de De Grossouvre à l’Élysée (qui préparait un livre sur lui) et de son ancien Premier ministre Pierre Bérégovoy. (et P. Pelat) ? On l’oublie ?…)
Et il a pu tout se permettre.
Si la PRESSE parlait, « Elle », elle risquait de gros problèmes et ses journalistes avaient peur (Jean-Edern Hallier n’a-t-il pas été assassiné par une mauvaise chute à vélo sans témoin pour avoir voulu révéler l’existence de Mazarine, laquelle fût entretenue aux frais de la princesse plus de 20 ans durant) ?
C’est du passé, mais qu’on ose encore le citer en exemple !
Il ne faut surtout pas non plus oublier qu’il a « demandé » (et obtenu).
Le changement de l’itinéraire du TGV dans la Drôme afin de protéger la maison à Marsanne de son ami Henri MICHEL, le château La Borie dont un des actionnaires était Roger HANIN son beau-frère, ainsi que des truffières appartenant à Mme Danielle MITTERRAND du côté de Suze-la-Rousse.
Ce changement a fait passer le TGV
au-dessus du Rhône et a coûté au contribuable la bagatelle de 5 milliards de francs liés aux nouveaux ouvrages d’art (ce montant n’était que le devis initial et ne comprend pas le surcoût, d’au moins 50%).
Ce n’est là qu’une toute petite partie de ce que l’on sait aujourd’hui et dont la presse aux mains de la gauche ne parle jamais, la partie émergée de l’iceberg oubliée dans la brume du mensonge permanent, et dont voici quelques-uns des faits et méfaits :
– Faux évadé des camps allemands, Mitterrand a été membre de la Cagoule en 1935, antisémite et anti-républicain, ce mouvement est de tendance fasciste.
– Sous-secrétaire d’État aux anciens combattants en 42, il a été décoré, sur sa demande écrite d’avril 42, de la Francisque (l’ordre de la Francisque est une décoration attribuée en tant que marque spéciale d’estime du maréchal Pétain par le gouvernement de Vichy en 1943, (il faut savoir que c’était valorisant, comme la Légion d’honneur) actuellement, et qu’il fallait la demander (contrairement à l’ordre de la Légion d’honneur), et se faire parrainer.
– Ceci explique peut-être la protection systématique dont bénéficia Bousquet, ancien Secrétaire général de la Police de Vichy.
Il en fut le récipiendaire numéro 2202 donc cela implique tout de même une certaine volonté et un certain désir…
– Il était Garde des Sceaux pendant la Bataille d’Alger, et c’est lui qui a organisé les bandes de barbouzes, ce qu’il reniera plus tard.
C’est lui aussi qui a présidé au fonctionnement de la guillotine à cette époque.
– Il a organisé un faux attentat rue de l’Observatoire à Paris pour focaliser sur lui les regards de la presse.
– Il a fait financer le PS par des pratiques frauduleuses (affaires Urba, Graco, et de multiples autres).
– Il a appris qu’il avait un cancer de la prostate métastasé aux vertèbres lombaires quelques semaines avant les élections présidentielles de 1981, et n’a rien dit alors que l’aspiration à la fonction de chef d’État l’y obligeait, tout comme les fausses déclarations de fortune en omettant ses possessions en forêt de Troncay (défiscalisables évidemment).
– Il a fait nationaliser les banques et les industries françaises, obligeant la France à dévaluer sa monnaie trois fois de suite en quelques mois.
– Il a fortement élevé le nombre des chômeurs en France (moins d’un million en mai 1981 à 3 millions dès 1983).
– Il a protégé un ancien collaborateur des nazis, son ami René Bousquet.
– Il a protégé Bernard Tapie et l’a élevé au rang de ministre, et a plombé chaque contribuable de 2 500 francs sur cinq ans mini.
– Il entretenait sa maîtresse et sa fille adultérine cachées dans un appartement parisien appartenant à l’État, et les week-ends passés dans les palais de la République aux frais de
celle-ci.
– Il se rendait chaque Noël sur les bords du Nil aux frais de l’État, et emmenait avec lui une soixantaine de personnes lors de ses déplacements.
– Il descendait tous les ans à l’Old Cataract (un hôtel somptueux sur le Nil) avec « sa petite famille », dont Françoise Sagan emmenée aussi en Amérique du Sud et qu’il fallut rapatrier d’extrême urgence par avion spécial, victime d’une overdose de cocaïne !
– Il a augmenté la dette de la France de plus de 250 % durant sa mandature. (Raymond barre parti en 1981 en laissant un excédent de 35 milliards de FF dans les caisses, soit 5,5 milliards d’€)
– Il a fait racheter l’entreprise de son ami Roger-Patrice PELAT (déjà largement mouillé de recel de délit d’initié dans l’affaire Péchiney-Triangle), la société « Vibrachoc », par une société d’État pour cinq fois sa valeur réelle.
– Il a obligé son médecin personnel à publier durant 14 ans de faux certificats sur son état de santé (pauvre médecin, disparu lui aussi).
– Il a couvert ses sbires gendarmes qui ont inventé une histoire de terroristes à Vincennes.
– Il a totalement délaissé un de ses fidèles très proches, François de GROSSOUVRE, qui a fini par se suicider (d’une balle… dans la nuque !) avec un 357 Magnum dans un bureau à l’Élysée.
– Il a affirmé qu’il ne savait rien sur la destruction à l’explosif d’un bateau de Greenpeace en Nouvelle-Zélande, pourtant organisé par les services secrets français et sur son ordre !
– Il a mis sur écoute sans justification plus de 150 Français, dont Carole BOUQUET et Jean EDERN-HALLIER, et il a osé affirmer à la télévision qu’il n’a jamais commis ce forfait. Curieusement, le capitaine de gendarmerie qui branchait « les fils » s’est, lui aussi, « suicidé ».
– Les associations décomposées tenues par « tatie Danielle », et qui lui survivent, lourdement subventionnées par l’État, ou encore le fric donné aux amis comme Guy LIGIER pour ses charrettes bleues (payées par la SEITA et le Loto) : c’est encore « Tonton ».
– Il a fait nommer un de ses fils à un poste de conseiller en Afrique, rôle qu’il n’a jamais exercé.