Macron s’apparente à un pathétique clown exécutant son dernier tour de cirque.
Kit de survie : oui mais contre qui ?
Afin de cerner au plus près le fond délabré de cet inquiétant personnage, observons que depuis 2020, Macron éprouve un besoin compulsif de jouer la comédie comme exutoire à ses fantasmes, s’inventant des scénarii catastrophes pour combler la dimension humaine qui lui manque. Ainsi, le dimanche 13 mars 2022 au salon Doré à l’Élysée, ce tragédien se sera travesti en commando parachutiste ; sweat-shirt noir et logo CPA 10 des forces spéciales de l’armée de l’air pour se donner en spectacle, mais à la façon des facéties dusapeur Camember. « Si les vices sont sans conséquence, le ridicule tue » exposa le scénariste Rémi Warterhouse !
Cet halluciné, qui trône au Palais de l’Élysée, se crut dans la peau d’un conscrit, venu à la rescousse de son homologue Volodymyr Zelensky (Source : Bang Showbiz, 18 mars 2022). Pour prolonger le délire récurrent de sa guéguerre contre un virus de 0,07 μ qu’il a perdu, puisque le virion aura bravé tous les vaccins qui prirent le relais de l’infection, l’affligeant ingénu, le cortex disloqué par un trouble dissociatif (schéma paradoxal de l’identité), se subodora en grandeur réelle, tel un héros sorti d’un Manga ou de Comics, sous la toise de son personnage grimé en paladin. Mais à force d’échecs, la manette vidéo de son fusil d’assaut AK-47 aura laissé place à un « kit de survie ».
L’imaginaire refoulé d’un avatar vautré dans les tranchées boueuses de fantassins fauchés par les tirs ennemis sorti d’une tablette de jeux vidéo, une chimère s’est envolée depuis le 55 rue du faubourg Saint-Honoré vers l’uchronie d’une scène martiale. Par ce délire, d’où jaillissent tant d’autres élucubrations depuis son agitation borderline, ce personnage cyclothymique, au surplus frappé du syndrome d’hubris, duplique ses postures selfies dans ses réseaux sociaux. Or celui-ci se trouva piégé, aperçu en treillis puis commenté ; « l’air harassé, barbe de huit jours, rouflaquettes en broussaille, jean et sweat à capuche ». Ce fut dans cette allure grotesque que le pensionnaire de l’Élysée se décrivit dans la presse étrangère, divertie et railleuse, où l’individu étriqué, dans la fièvre de son agitation mentale, s’est cru tout à coup téléporté dans l’enfer d’un champ de bataille en Ukraine.
Après ses échecs successifs affligeants, passé le SARS-CoV-2, le CO2 et la guerre civile en Ukraine qui se transforma en guerre par procuration par des vautours opportunistes, une énième tentative de retour sur scène de Macron s’apparente à un pathétique clown exécutant son dernier tour de cirque. Ici, n’y voyons pas la « résilience » déclinée dans les annonces des médias serviles, mais une persistance pathologique à tout anéantir, et même par la guerre s’il le faut. À ce titre, le Professeur Adriano Ségatori, psychiatre italien, précisa que qualifier un individu de psychopathe n’est pas insultant, car il s’agit d’une maladie.
Mais lorsque la pathologie d’un chef d’État gagne du terrain jusqu’à annihiler les institutions et affaiblir la sécurité du pays, épongeant les finances publiques jusqu’au dernier cent depuis le Trésor de Bercy, que le surendettement de l’État mine l’économie et le social jusqu’à la banqueroute, puis qu’une partie de la Nation bascule dans la pauvreté voire l’indigence, et que de surcroît l’indignité frappe les Français en regard des propos déplacés, les avanies et des comportements de son Président, sans nul doute Macron se constitue l’ennemi numéro un de la France. De fait, l’individu ne lâche rien, guerroyant depuis sa tour d’ivoire transformée en headquarters en provoquant les plus grandes puissances mondiales, la Russie certes, mais désormais le nouveau patron de la White House ; de concert avec son homologue Volodymyr Zelensky.
Le Président Zelensky s’est fait remarquer par ses liens avec des nébuleuses pronazies qui enrôlèrent des enfants dès l’âge de 16 ans arrachés à leur famille pour en faire de la chair à canon. Rappelons ses relations glauques avec Andréï Bilertski, fondateur du bataillon pronazi Azov. Que penser de ses copinages crapuleux avec la mafia locale, dont le richissime parrain Ihor Kolomoïsky ? Il y eut aussi ses turpitudes dans la Privat Bank avec un détournement de 5,5 Mds d’US-$. Les Pandora Papers mirent à jour un réseau de sociétés offshore qui ont servi Zelensky à se doter d’un patrimoine immobilier en Europe, dont 3 propriétés à Londres. Pour ce faire, 8 millions d’US-$ lui furent acquis, via la complicité de prête-noms. Quid de l’individu qui osa se présenter aux présidentielles en 2019 comme un chevalier en campagne contre les corrompus dans son pays ?
Si cette guerre, asymétrique ou transversale, contre ses compatriotes séparatistes prorusses s’avère désormais une cause perdue, car la paix est imposée par Donald Trump et Vladimir Poutine, une part non négligeable des Mds d’€ versés, notamment par Macron sur le compte des contribuables français, aura été détournée pour profiter à ce fou de Kiev. De fait, la guéguerre entreprise par Macron en faveur de l’Ukraine des euramaïdan contre leurs compatriotes de l’Est, participa à tuer davantage d’Ukrainiens durant cette guerre civile, saignant la France de 28 Mds d’€ entre 2022 à 2024. Et ce n’est pas fini, puisque la visite du 26 mars 2025 à l’Élysée de Zelensky, lui promet un soutien de 2 Mds d’€, avec pour paquetage des missiles antichars Milan, et Mica équipant des chasseurs Mirage, d’autres missiles sol-air Mistral, des blindés VAB, des chars AMX-10 RC, des munitions dont téléopérés et des drones. Tout cela pour la paix ose prétendre un Macron sans complexe qui ne s’embarrasse d’aucun paradoxe.
Macron refuse la paix, car ce serait avouer un nouvel échec, eu égard à ses turpitudes financières et confusions entre le mal qu’il croit être le bien, d’où un gaspillage en cascades autour de gabegies et de prévarications, sans aucun retour d’investissement. Il en va pour tout ce qu’il a entrepris depuis 2017 en France ; « déconstruisant » tout ce qu’il touche, dans la ligne de son interview à la chaîne américaine CBS en avril 2021. Sa nouvelle marotte, après ses multiples déconfitures, serait de doter tous ses concitoyens d’un « kit de survie » pour nous préparer au pire. Mais le pire, c’est déjà l’individu lui-même. Cet oligarque sait que la peur constitue l’épine dorsale de toute dictature, en semant un climat de psychose collectif. Pour ce faire, il use et abuse de one man’s shows devant les écrans Tv, conditionnés par l’Arcom aux accents comminatoires ; un chien de garde constitué d’une milice inquisitrice armée de collabos et de censeurs.
Bien évidemment, derrière cette chienlit, Macron se ressource auprès de sa muse Ursula von der Leyen, que les mauvaise langues taxe de « Hyène ». De fait, à chaque chapitre des exploits catastrophiques de Macron, on y trouve en filigrane la morsure des crocs acérés de cette charognard, mais aussi celles des séides de la secte mondialiste World Economic Forum (Forum de Davos). Autrement dit, tout ce qui est patriotique, démocratique et pacifique est jugé anti-productif. Quant au libéralisme, ce prétendu vecteur de progrès se conjugue dans la débauche LGBT et la lie d’un wokisme dégénérescent. Enfin, ce qui relève de la morale civilisatrice fait du citoyen de souche un nationaliste honni, ou d’un conservateur un populiste. Au registre politique, cette gauchosphère grimée en social-démocratie, est prête à renouer avec le collectivisme de sinistre mémoire.
S’agissant de ce « kit de survie », annoncé pour faire face au pire, à l’instar du frankenvirus « Covid-19 », n’est autre qu’un nouvel instrument anxiogène, puisque jamais Vladimir Poutine n’a menacé la France de ses têtes nucléaires, ni ne potentialise un quelque danger d’invasion armée. Alors, pour se prémunir contre les assauts des citoyens lucides, car échaudés par les mensonges, les infox et les félonies de ce pouvoir dominant, ceux-là sont étiquetés sous l’enseigne du conspirationnisme. Il est prétexté que ce « kit de survie » ne serait pas seulement destiné à se préparer contre une guerre, mais aussi contre une calamité naturelle ; histoire de se dédouaner de toute interprétation nauséabonde, comme d’y percevoir un accès de crise paranoïde de la Présidence. Face à cette fièvre martiale qui habite l’Élysée depuis 2020, il existe un remède apaisant contre ce type de pathologie psychique : le Prozac® (inhibiteur de troubles obsessionnels compulsifs).
Ce délire récurrent, dont manifestement souffre ce chef d’État, pourrait trouver son étiologie depuis les esprits allumés des collapsologues ou des survivalistes. Gageons que la « Grande tribulation » des évangélistes, qui renoua avec la « woodcraft » (art des bois), tirée de la prédiction des Mayas depuis l’interprétation apocalyptique du 12 décembre 2012, aurait possiblement endommagé le cortex cérébral de la plus haute autorité de l’État ! Comprenons alors la nécessité de se prévenir de cette hyperthermie du combat sans véritable adversaire en face ni menace effective, qu’il soit présumé millénariste ou de nature soldatesque. Or ces accessoires (trousses ou paquetages de mission) pour endiguer les dangers potentiels ou imaginaires, existent déjà depuis des lustres parmi les équipements de nos soldats. Certes, Macron n’a jamais fait de service militaire, quoique symboliquement chef des armées (article 15 de la Constitution de 1958).
Cependant, les ratios de commando, pas plus que les « kit de survie » vu par Macron (sac de subsistance de la Croix-Rouge), ne sauraient sauvegarder la vie des citoyens que quelques jours, et guère plus dans un abri antiatomique. Ce pourquoi, s’il faut prévenir la population du pire, retenons déjà que l’ennemi et ses dangers sont déjà sur le territoire, avec des communautés de terroristes islamiques issus de l’immigration. Alors que cesse cette invasion de réfugiés le Coran d’une main et le cimeterre de l’autre ! Préoccupons-nous aussi de la santé mentale du chef d’État, en alertant le Colonel Jean-Christophe Perrochon, médecin-urgentiste attaché à l’Élysée. Deux solutions pérennes s’offrent aux représentants du Peuple, soit une révocation de la charge présidentielle pour des motifs médicaux, soit une destitution ; l’une étant constitutive de l’autre.
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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