L’écriture serait comme un voeu:en vous comme une grâcevous ferait reconnaîtreque vous êtes vivantset que cela requiert alorscomme d'aucun effortl'abandon absolumentde marquer une trace ardentedans l'orbe insignifiant…Ils s’adonnent aux répugnances:il sourit au néant,elle jouit comme si le ventabouché au vide du tempsla comblait en la dévastant -tout mentalement s’entend ,quand tout au monde immonde,et virtuel, devenait mental et mortel…Le vœu de silence au momentoù tu écris dans l’innocencede qui ferait juste semblantde ne rien savoir de tout ça -ce vœu seul est comme un accueil,et comme au seuil une présenceque tu savais en toiet que relancent ces mots-la…Joseph Czapski: La Lettre - dessin préparatoire-