L’Arc Ripoublicain selon St. François de Corrèze !
Ah, François Hollande, ce géant de la politique du nul, qui, en vieillissant, semble avoir oublié que son père, le docteur Georges Gustave Hollande, n’était pas exactement le poster boy de la gauche. En fait, ce bon vieux Georges, né le 9 mai 1923 et décédé le 7 avril 2020, a eu l’audace de se présenter sur une liste d’extrême droite aux élections municipales de Rouen en 1959. Oui, vous avez bien entendu, un vrai pionnier du « je ne suis pas mon père » !
Comme Macron, qui a du mal à digérer la longueur d’une table (pas débordante de petits fours ?), François ne supporte pas l’héritage paternel. Pendant que l’un diabolise la Russie, l’autre s’attaque à 11 millions de Français. Et que dire de son parti ? Un véritable squelette, à peine capable de faire un bruit de couloir.
Les partis qui ne sont pas dans cet « arc républicain » sont ceux qui ont mis la France dans la mistoufle. En d’autres termes, la droite classique, la gauche, et maintenant l’extrême centre, tous responsables de ce désastre. Les arguments du « bobo gauchiste » ? Périmés, tout comme lui, d’ailleurs !
Ah, notre éminent politicien de Corrèze a trouvé une nouvelle preuve que le RN est hors de l’arc républicain : ils veulent modifier la Constitution ! Faut-il lui rappeler que tous les présidents de la Vᵉ République l’ont fait, sauf Pompidou, qui, avouons-le, avait un style qui lui allait à merveille. Et puis, il y a Hollande lui-même, qui, chaque jour, nous prouve qu’il n’est pas une flèche.
Soyons honnêtes, il y a eu des dirigeants politiques pétainistes qui ont eu une influence énorme sur la vie politique française. Le plus célèbre ? François Mitterrand, bien sûr !
Le pays se meurt économiquement, victime d’un dogme consumériste keynésien qui a laissé tomber l’industrie. Les seules richesses possibles ? Le travail, mais pas pour longtemps, surtout quand on tue les consommateurs à coups d’impôts. C’était mort dès le départ, et il a fallu des mensonges monumentaux pour faire avaler ça aux Français jusqu’à aujourd’hui.
Et que dire de M. Retailleau, qui parle de « renverser la table » sans même changer la nappe ? Un vrai chef d’un petit parti trop divisé, qui lorgne vers le Centre sans jamais vraiment voir. Tout comme notre tout nouveau Premier ministre, qui semble avoir oublié qu’il doit former un gouvernement.
Napoléon avait pourtant averti : « On n’a jamais rien fondé que par le sabre ». Les moments fondateurs sont des bouleversements, pas des petits changements de ministères boutiquiers. Qu’ont donc à perdre les Français à changer ? On n’a qu’une vie, après tout. Espérons que Lecornu ne trouve pas de ministère stable, pour que Macron soit forcé de redissoudre l’Assemblée.
En conclusion : Dans cet arc républicain modèle « François Hollande », il n’y a pas que des flèches. Loin de moi l’idée de mettre une pomme sur la tête pour que l’ex-président exerce son talent de tireur. Ne suis pas suicidaire, après tout !
Alors, que pensez-vous de cette comédie politique ? Est-ce que le changement est vraiment à l’horizon, ou serions-nous condamnés à regarder ce spectacle tragique se dérouler encore et encore ?
Être d’extrême-droite, c’est quoi ? Apparemment, ce n’est pas un grand mystère ! C’est vouloir que la France reste… française. Incroyable, non ? On dirait que certains préféreraient la voir devenir un melting-pot de toutes les cultures, sauf la nôtre. (Ironie, bien sûr. Je suis sûr qu’ils adorent le camembert et le vin rouge autant que moi.)
Et puis, il y a l’immigration, le sujet sensible ! On nous dit que c’est une chance, une richesse, un enrichissement culturel… Personnellement, je préférerais que l’on arrête de se retrouver avec des problèmes de sécurité et que nos jeunes puissent trouver du travail sans devoir traverser la rue pour cela.
La sécurité ! Un autre grand classique. On nous promet monts et merveilles, mais on finit toujours par se retrouver avec des cambriolages, des agressions et des rodéos urbains. C’est vrai que c’est tellement agréable de se sentir en danger à chaque coin de rue.
L’économie, parlons-en ! On nous dit que la mondialisation est formidable, que la concurrence est bénéfique… Sauf quand on se retrouve avec des entreprises qui délocalisent et des emplois qui disparaissent. Mais bon, on est d’extrême-droite, on ne comprend rien à l’économie.
Et l’Union Européenne ! Vous savez, ce machin qui nous dit quoi faire, comment faire, et qui nous coûte une fortune. On nous dit que c’est la paix, la prospérité… Mais on se demande bien où sont la paix et la prospérité.
Et le « pognon de dingue » ! On dépense, on dépense, on dépense… pour tout et n’importe quoi. Et après, on s’étonne qu’il n’y ait plus d’argent pour les hôpitaux, les écoles, les retraites… Mais bon, on est d’extrême-droite, on ne comprend rien à la gestion des finances publiques.
Alors oui, j’assume. Je suis d’extrême-droite. Et je suis même fier de l’être. Parce que, voyez-vous, je suis juste quelqu’un qui a du bon sens. Quelqu’un qui veut que la France reste la France. Quelqu’un qui veut que l’on arrête de nous prendre pour des imbéciles.
Et ceux qui ne sont pas d’accord ? Eh bien, ils roulent à contresens. Ils sont dans le déni. Ils sont aveuglés par leurs idéologies. Mais bon, chacun son chemin. Moi, je suis sur le bon. Et vous ?

Gérard-André Elles

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dessin de couverture par Rémy CATTELAIN pour URTIKAN

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