« Le temps des combats » est arrivé, Français, réveillez-vous !

« La haine n’a décidément aucune limite », effectivement.
Procès politique, arbitraire. Abus de pouvoir. Dossier vide.
Zéro preuve : l’État de droit est mort. Nous vivons sous l’empire du mensonge et de l’idéologie gauchiste irrationnelle.
Ce traitement exceptionnel, que rien ne justifie, dit tout de ce jugement politique : les magistrats ont reconnu que le président Sarkozy n’a rien fait, mais il est condamné sur le fondement d’une « hypothèse » à la peine maximum !!

Ce complot fomenté via cette pseudo-affaire de financement libyen n’a reposé que sur la fabrique d’un mensonge grossier : le faux document de Plenel (Mediapart) reconnu comme tel !!
Nous l’avions écrit, il y a des années ! Deux décennies de haine à faire croire aux Français que le président Sarkozy est malhonnête, qu’il n’y pas de fumée sans feu, et patatras !! Qui condamnera l’escroc de Plenel pour avoir PRODUIT un faux document, ce qui en droit est lourdement condamnable ? Qui condamnera les juges rouges pour leurs graves méfaits ?
Les méthodes de barbouzes de Plenel et du PNF Stasi qui a dépensé des millions, désavouées !
Une ‘justice’ totalement dévoyée qui s’est fourvoyée jusque dans la fange pour se payer ‘Sarko’.
Et bien sûr tous les gauchos ont acclamé ce qui n’est que l’expression d’un arbitraire judiciaire. C’est cela la réalité de ce jugement scandaleux ! Imaginez quand même que ces juges ont reproché à NS de se défendre et le condamnent avant qu’il ne puisse faire appel, c’est du jamais vu en droit ! La haine s’est muée en folie. Ni corruption ni financement illégal de sa campagne ni enrichissement personnel, ni quoi que ce soit d’autre !! Une justice politisée qui ne peut pas se renier : condamné pour « association de malfaiteurs », valise fourre-tout ajoutée au dernier moment, qui serait le cadre supposé du délit dont les magistrats ont été contraints d’admettre l’INEXISTENCE !! Condamné et jugé sur d’hypothétiques intentions, seuls les fanatiques idéologues abreuvés de haine et de bêtise y trouveront leur compte. Condamnation sur de l’imaginaire. La morale a tué la démocratie. La morale au lieu de preuves tangibles, le président Sarkozy, ‘aurait dû savoir ce qu’il ne savait pas’, « négligence »… Sacrée invention pour justifier cette condamnation : cinq ans de prison, avec mandat de dépôt différé et exécution provisoire (loi 2019) ! Nathalie Gavarino, nommée par Hollande, qui a condamné le président Sarkozy et celle qui avait aussi jugé et condamné Fillon. En 2011, elle était représentante de l’Union Syndicale des Magistrats et organisait une manifestation CONTRE lui, après que celui-ci avait accusé les magistrats de « négligences » concernant les multirécidivistes.
Cette condamnation, est une vengeance, elle aurait dû être récusée.
Il ne s’agit plus d’autorité judiciaire, nous sommes sous le joug de la République des juges : véritable « association de malfaiteurs », ces malfaisants ont pris le pouvoir. Les opposants à leur idéologie, à l’échafaud ! Les juges de gauche extrême, les ‘procureurs’ de Mediapart, Hollande et d’autres rêvaient de le voir en prison. Ils rêvaient de « l’abattre. » Ils ont œuvré tous ensemble. Au bout de treize années d’acharnement uniquement pour cette affaire totalement mensongère montée de toutes pièces, ils y sont parvenus et ils jubilent. Le président Sarkozy a été attaqué de toutes les façons possibles.
Il a été traité de « menteur », de « voyou », d’« escroc. »
Inversion accusatoire, technique bien connue pour masquer ses propres turpitudes.
Il a été insulté avec plus de violence que les figures les plus exécrées de notre longue histoire. Il a été condamné d’avance et en bloc par une opposition peu portée à l’objectivité. Rappel : En avril 2012, entre les deux tours de la présidentielle, le Syndicat de la Magistrature, « mur des cons », avait appelé à voter contre Nicolas Sarkozy. Dans un texte publié d’une très grande violence, ce syndicat n’hésitait pas – à force d’insinuations et de calomnies – à le nazifier, allant jusqu’à l’accuser de s’en prendre aux « malades mentaux » (?) et en qualifiant sa présidence de « quinquennat entaché de brun »…. Ces outrances, ces mensonges aux relents complotistes éclairent l’attitude de certains magistrats envers Nicolas Sarkozy et l’acharnement judiciaire qu’il subit depuis qu’il a quitté le pouvoir il y a treize ans. Ils sont tous de connivence. Les Français ont bien remarqué que les enquêtes concernant les gauchos, depuis des années, traînent en longueur.
La création du PNF par ce vicelard, ce gros porc de Hollande corrompu, n’avait qu’un objectif : faire tomber le président Sarkozy par tous les moyens.
En 2010, à l’Université d’été de la Rochelle, Hollande : « vous n’avez pas encore arrêté le délinquant », réponse de Plenel : « non, je fais mon travail », réponse de Hollande : vous avez fait plus que votre travail… », ces deux-là n’ont toujours été que haine vis-à-vis de Sarkozy ne lui arrivant pas intellectuellement à la hauteur de son petit doigt de pied.
Le PNF main dans la main avec les escrocs de Mediapart, c’est un fait !
Viciée la campagne présidentielle de 2012, comme celle de 2017, puis 2022 et 2027 ?
Ce PNF est à supprimer comme l’exécution provisoire. La HAVTP, créée suite à l’affaire Cahuzac, organisme à supprimer. Nous avons l’Agence Française anticorruption pour faire la même chose. Jamais la transparence n’a été mieux établie au sommet de l’État que lorsqu’il était président de la République. Nicolas Sarkozy a toujours préféré le courage à la popularité. Il n’y a en lui rien de bas ni de tortueux. Il est cash. Il est droit. C’est un caractère fort, fait de contrastes, loin de toute hypocrisie, ennemi de la médiocrité, dans laquelle nous baignons depuis 2012. Ce n’est pas un par en-dessous qui fait ses coups en douce, contrairement aux autres. Trainé dans la boue, ils ont voulu l’humilier, ils n’y sont pas arrivés, même avec cette condamnation : apothéose de la République des juges, que les Français ne supportent plus, indépendamment d’ailleurs de cette condamnation surréaliste, vu la politique, parce qu’il s’agit de cela, que ces juges de gauche extrême mènent depuis si longtemps, dans une inversion idéologique totale de l’Etat de droit. Et la République des juges se prend le « mur des cons » en boomerang.
Des années que ces juges rouges sévissent en toute impunité bien à l’ombre dans leur tribunal. L’Union Syndical des Magistrats a pondu un communiqué à la rescousse de la Gavarino et s’inquiète « de la désignation publique des magistrats comme des ennemis politiques et des conséquences, même indirectes, qui en découlent : menaces de mort ou de violences graves », les voilà pris pour cibles, eux, qui ciblaient leurs opposants politiques !! Mais, enfin, tout ceci ne relève que d’« un faisceau d’indices » voire « une hypothèse »… N’est-ce pas ? Ennemis POLITIQUES ? Oui, d’une majorité de Français qui sont victimes de leur politique, justement ! Et l’USM ajoute « dans une démocratie avancée comme la France, rendre la justice conformément au droit (…) fasse peser sur les magistrats un tel opprobre et de tels risques d’agression », les pauvres ! Et puis, quelle démocratie ? Conformément au droit, une « hypothèse » ? La condamnation morale est conforme au droit ? Etc.
Ces extrêmes gauchistes ne jugent que selon leur idéologie ! Cela leur fera peut-être prendre conscience de ce que vit une vraie victime, victime de leur injustice. Conscience et gauchiste « en même temps » c’est trop demander ! Il ne manquait plus que le Syndicat de la Magistrature (SM) de gauche extrême, celui qui menace des juges qui appliquent les lois, entre autres, qui a de son côté dénoncé les attaques : « d’une partie de la classe politique », qui estime que la condamnation de l’ancien président était « le fruit d’un acharnement, voire d’une vengeance de la justice. Ces accusations constituent une diversion qui ne doit tromper personne. La stratégie par laquelle l’accusé se fait l’accusateur de ses juges est un grand classique des personnalités publiques poursuivies ou condamnées », observant que les magistrats exerçaient « leurs fonctions avec impartialité, professionnalisme et indépendamment de leurs opinions », estime le syndicat, c’est vrai quoi, syndicat connu pour être très impartial, même neutre. USM et SM jouent la victimisation, les pauvres, nous allons les plaindre…
Et finalement, non, ils récoltent ce qu’ils ont semé depuis des années. Le premier président de la Cour d’appel de Paris a déploré la « remise en cause » de l’impartialité de la justice après la condamnation du président Sarkozy et a appelé « solennellement au respect de l’institution judiciaire et de son indépendance. » A-t-elle, solennellement respectée la justice en la rendant, pour être solennellement respectée ? Non, puisqu’il s’agit uniquement de l’inversion de la charge de la preuve ! Les Français respecteraient la Justice si elle n’était pas politisée jusqu’à la moelle, au point de rendre un jugement non fondé, sans preuve tangible. La justice impartiale n’existe plus en France, nous avons légitiment le droit de la critiquer !!!
Allez, mesdames et messieurs les juges ouin-ouin, vous qui n’êtes qu’infamie, un peu de courage, n’essayez pas d’instrumentaliser ces ‘menaces’ qui ne sont qu’une « diversion » qui ne trompe personne.
Pensez à toutes ces victimes, Français lambda, FDO… Qui sont agressées tous les jours et que vous ne jugez pas comme étant les bonnes victimes, que vous ne protégez pas, pour lesquelles vous n’avez aucune empathie, en revanche, protégeant ceux que vous estimez victimes de la société, même les pires ordures, vous estimant au-dessus des lois, énième preuve inouïe avec la condamnation du président Sarkozy, goutte qui a fait déborder le vase de la colère…
Ce jugement inique porte préjudice à l’image de la France à l’international.
La France se discrédite elle-même.
Toujours plus bas…Vent de révolte !

Nanouche

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