Alerte! Le Président est-il fou ? (FIN)
5°) Des indicateurs sur les comportements de Macron à faire froid dans le dos
Lorsque Macron ment au Peuple français, en prétendant faire la guerre pour libérer l’Ukraine, celui-ci occulte intentionnellement une réalité beaucoup moins honorable ; celle de contribuer à tuer des centaines de milliers d’Ukrainiens séparatistes à l’Est de ce même pays, qui avaient précédemment voté, par deux fois en référendum d’autodétermination vis-à-vis de Kiev, au profit de leur rattachement à la Fédération de Russie, comme il en fut de la Crimée et Sébastopol. Au début du conflit entre avril 2014 et octobre 2015, mais aussi autour des exactions commises par le pouvoir de Kiev lors d’organisations desdits référendums, partialement jugés illégaux comme celui du 11 mai 2014, rappelons que 94 % des suffrages exprimés à Ougledar (Ville de l’Oblast de Donetsk) se prononcèrent pour la séparation territoriale avec l’autorité centrale de Kiev. Pour moralité, la Slovénie et la Tchéquie se séparèrent en 1992 bons amis, s’éclipsant de la Tchécoslovaquie soviétique sans escarmouche, mais continuant à vivre, échanger et prospérer ensemble de chaque côté de la Sava !
Cette Guerre civile de Donbass, depuis 2014, méritait certes mieux que de concourir à arracher la vie à des Ukrainiens en les aidant à s’entretuer mutuellement, quel que soit leur légitimité respective. Macron, qui fait croire s’opposer à l’invasion russe, ne saurait être fier de sa participation à ces massacres, sachant que seule une force d’interposition sous l’égide des nations Unies aurait été louable comme jadis dans les Balkans, ainsi l’exprima Vladimir Poutine, dont la requête au Conseil de Sécurité ne fut pas entendue, à défaut d’unanimité. S’il faut trouver une explication à cet acharnement de la Présidence française dans cette guerre asymétrique et par procuration, il est fort probable que ce dernier cherche compulsivement à se constituer un troisième mandat constitutionnellement impossible, mais qui le serait si une véritable guerre se présentait aux frontières de l’Hexagone.
De fait, les élections seraient remises sine die, jusqu’à la fin du conflit présumé, et Macron conserverait son statut de chef d’État ainsi prolongé. Sauf qu’il n’existe aucun ennemi aux frontières de la France, et que Poutine n’a jamais menacé la France d’une telle conflagration, qui d’ailleurs nous réduirait en cendre, eu égard à la supériorité militaire, conventionnelle, dissuasive et technologique indiscutable de la plus redoutable armée au monde ! Comprenons que les ambitions du petit caporal français est comparable à la dynastie communiste du dirigeant Nord-coréen, lequel provoqua la superpuissance des États-Unis. En d’autres termes, entre l’exaltation du pouvoir suprême à vie de Kim Jong-un, et le syndrome d’hubris de Macron (saillie narcissique, trouble de la personnalité borderline), leur idiosyncrasie respective révèle d’une psychopathie ; un cluster des sens émotionnels, d’empathie et d’irresponsabilité combinés. Dans une réalité effroyable, l’un comme l’autre n’hésiterait pas à sacrifier la vie de leur peuple distinct, au seul bénéfice de leur auguste personne !
Enfin, rappelons que l’excuse à un tel conflit n’est étayée par aucun motif d’alliance diplomatique, que l’Ukraine ne fait pas parti de l’Otan nonobstant les prétentions territoriales de l’Union européenne, ni encore ne présente d’intérêt louable en termes d’investissement industriel et commercial, puisque la part des marchés d’échange entre la France et l’Ukraine était alors infinitésimale, sinon quasi inexistante avant 2022. Mais dans le bon ordre des annales didactiques, rappelons que l’Ukraine fut le berceau historique des tsars de Russie ; capitale et mère des villes russes en 882, dite « Rus’ de Kiev » jusqu’au XIIIème siècle. Cette page d’histoire confère une légitimité culturelle, linguistique et patriotique au million d’Ukrainiens russophones qui ont demandé et reçu l’asile politique à Moscou, par suite des attaques armées de la présidence ukrainienne, contre leurs propres concitoyens.
Autre détail qui n’a pourtant rien d’insignifiant, l’Ukraine, renaissant de son indépendance en 1991 après la dislocation de l’URSS, fit l’objet d’un accord de non rattachement à l’Otan, qui fut entendu en commun accord entre les puissances d’Ouest et d’Est. Pour entrer dans le détail des négociations historiques vers la fin du pacte de Varsovie,Il y eut un tête-à-tête et des communications apaisantes en février 1990 entre le secrétaire d’État américain, James Baker au nom de Georges H. W. Bush, et le Président Mikhaïl Gorbatchev au Kremlin, à propos du statut de l’Allemagne réunifiée au sein de l’Otan. D’où découla le sort réservé à l’Ukraine, comme pour la plupart des États des régions de l’Est de l’Europe, libérées de l’emprise politique et militaire soviétique, découlant successivement des accords de Téhéran de 1943 et de Yalta en 1945, donc durant et après la seconde Guerre Mondiale.
De fait, l’expression controversée « pas d’un pouce » existe formellement dans une déclaration ouverte entre les deux protagonistes susvisés. Elle fut exhumée d’un mémorandum américain déclassifié : « Nous comprenons la nécessité de donner des assurances aux pays de l’Est. Si nous maintenons une présence dans une Allemagne qui fait partie de l’Otan, il n’y aura pas d’extension de la juridiction de l’Otan pour les forces de l’Otan d’un pouce à l’Est», indique ce document US (Sources, Spiegel, CheckNews). Même l’Otan était censée être dissoute selon les termes de ce compromis, à la sortie de la guerre froide.Ce pourquoi, cette entente, même si elle ne s’inscrit pas au titre d’un traité onusien, doit être respecté à peine d’ouvrir la boîte de Pandore. Sur ce registre, cette guéguerre de Macron a déjà coûté ± 65 Mds d’€ aux français ; un caprice insoutenable, en regard de ce soutient à des néonazis au service du chef de Kiev, lequel arrache des enfants ukrainiens de 16 ans à leur famille pour en faire de la chair à canon.
Du côté de Macron, ce dernier, toujours aussi pathétique s’il n’était pas devenu l’ennemi n° 1 de la Nation, ne cesse d’invoquer une guerre fantôme pour semer une nouvelle fois la psychose dans le Peuple, comme avec son ridicule « kit de survie » que chaque famille devait se constituer pour faire face à un conflit subodoré, et ses annonces austères en direction des hôpitaux et cliniques de France, afin que ces établissements se préparent à recevoir en grand nombre des blessés de guerre ! Mais à y regarder de près, l’ennemi n’est-il pas déjà chez nous, entre les attentats de masse, les assassinats racistes et les soulèvements insurrectionnels directement provoqués par la politique d’immigration islamique et anarchique que Macron. De fait, ce généreux bienfaiteur nous sert par wagons, un demi-million de réfugiés, et autant de clandestins simultanés qu’il légalise aussitôt, nonobstant souvent hostiles et racistes, à l’instar du millier de prédateurs et activistes gazaouis que ce chef d’État fait venir en toute discrétion sur le sol national ?
Reste que l’état de délabrement psychique de ce chef d’État exige que le médecin-colonel Jean-Christophe Perrochon se penchent sérieusement sur la santé mentale de son patient, afin de proposer sa suspension à titre conservatoire, voire le soumettre à la révocation définitive de ses fonctions par la commission dédiée (articles R4124-3 à R4124-3-4 du Code de la Santé publique). Quant au Parlement, il lui restera le devoir d’engager par suite, une procédure de destitution pour bien d’autres motifs (article 68 de la Constitution). Oui mais non, car trop de représentants du peuple, soudoyés et bénéficiaires de tant de privilèges, auraient à craindre que soit diligenté d’autres procédures à leur endroit, pour complicité de corruptions diverses et variées. Comment croire que la crise sanitaire ait si bien fonctionnée, si ce n’est que le monde politique de gauche à droite, se coalise en une fraternité contre-nature ? Ce fut ainsi que le Nouveau front populaire, suborna l’électeur pour faire barrage à la véritable opposition que nous livrent les procédures démocratiques à 2 tours, mais que nous ôtent les ententes malsaines de carriéristes politiques, altérés par la soif de l’« avoir » et du « pouvoir ».
FIN
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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Sommaire :
1°) l’idiosyncrasie hallucinante d’un chef d’État
2°) Piqure de rappel : le covid et ses vaccins ad hoc
3°) Des ententes criminelles, entre complicités et mobiles, qui devraient justifier la saisie du TPI
