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Le livre qu’il fallait oser écrire et qui traite d’un sujet gravissime et bien réel qui met en grand danger la France : l’islamisme !
la France de Macron a fait de notre pays un régime collectiviste, dit mondialiste qu’épaule le communautarisme islamique des Frères musulmans, avec son lot d’inquisition, de délation et de censures injustifié.

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De terrifiantes réalités
qui ne sont ni fiction ni complotisme…
Chapitre 29
Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité
C – Entre métadonnée et phéromone, l’étiologie du gène humain se partage en deux allèles : la robotique et le termite
b) Quand le tout numérique fabrique l’illectronisme, que l’authentification forte 2FA sanctionne les handicaps, et que France-identité ou FranceConnect compromettent la sécurité de tous
Plus les citoyens ouvrent de portes sur leur vie personnelle et leurs données privées, plus ceux-là s’exposent aux risques inverses aux propos rassurants mais artificieux des développeurs de ce concept. Ceux-là déverrouillent la trappe de millions de vies privées aux institutions publiques, en même temps que les utilisateurs exposent leur confiance bien naïvement à l’égard de tous, car bercés d’illusions qui leur font baisser la garde. Il en va de même avec FranceConnect, Mobile Connect, mais plus grave encore avec la double authentification (2FA ; multi-factor) sur deux supports connectés, lesquels réciproquement et simultanément sont émetteurs/réceptifs ; exposant l’un (2FA) pour craquer l’autre (code de connexion bancaire).
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Comprenons bien que la surveillance et le renseignement sont les deux mamelles des dictatures inquisitoriales et coercitives de l’État-Macron, et si d’aucuns arguent qu’il n’existe pas de dictature douce, c’est précisément parce que le pas, entre la démocratie et les régimes totalitaires, aura été franchi ou en passe de l’être. L’information, le renseignement et la censure en constituent la clé de voute. Mais peut-être que d’ignorer toutes ces habiles gesticulations liberticides, que concoctent une camarilla d’intrigants, rend la vie plus facile pour celles ou ceux qui préfèrent en ignorer les desseins, sauf à être un jour par opinion, faiblesse, handicap ou maladie, confronté au Marteau des sorcières ; « Malleus maleficarum ».
Si les Gafam mondialisent le service des données privées, et l’Open data pour alimenter les services publics, gageons que l’instrumentalisation analogique, numérique et prochainement quantique du monde virtuel dissout le quotient émotionnel d’une société. Or ce monde-là se déshumanise sous une charge alphanumérique quotidienne et itérative, se fragmentant par milliards de pixels et d’octets. L’internaute s’exclut physiquement de la société réelle en empruntant les cheminements câblés des communications, ou en concluant des contrats scellés par le monde virtuel des signatures électroniques, sans le concours d’un entremetteur maquignon.
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Une vitesse d’exécution est toujours rattrapée par une autre vitesse concourante, de sorte que le progrès technologique, les économies de production (restructurations et compression de personnel), les réaménagements managériaux et les performances des ressources humaines ne font pas progresser les affaires sur le long terme. Toutes ces gesticulations ne sont jamais que temporaires, car il faut tenir la distance, où seul le progrès se fait le starter dans cette course interminable, handicapée par la concurrence parfois déloyale et les délocalisations. De sorte que tout le monde se trouve rangé à la même enseigne ; le premier devenant le dernier et inversement selon le moment, l’opportunité ou la chance. Et le bonheur dans tout cela, qui l’évoque ou même y pense ?
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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