Augmentation de la taxe sur les ordures

La taxe sur les ordures, ce sujet brûlant qui fait frémir d’enthousiasme les foules.
Qui aurait cru que le simple fait de jeter un déchet pourrait devenir un sport national ? Mais ne vous inquiétez pas, car nos brillants politiciens sont là pour nous rappeler que l’incompétence a un prix, et ce prix, c’est nous qui allons le payer.

Il est fascinant de constater que nos élus semblent avoir un penchant pour les sigles plutôt que pour les noms. Peut-être qu’ils pensent que si nous ne comprenons pas ce que nous payons, nous ne nous plaindrons pas. Mais soyons honnêtes, qui a besoin de comprendre quand on peut juste payer ? C’est un peu comme acheter un produit sans savoir ce qu’il contient, mais avec un joli emballage.

À l’ENA, on doit apprendre à taxer pour taxer. C’est un peu comme un rite de passage. Où se trouve le local à poubelles, vous demandez-vous ? 

Merci aux LR et PS qui, en ne votant pas la motion de censure, nous ont offert un cadeau empoisonné : des impôts supplémentaires. Quelle générosité !

Pensez-vous vraiment que nous allons rester silencieux pendant 18 mois ? Espérons que lors des prochaines élections municipales, nous n’aurons plus à subir la gestion de ces maires LR et PS. Ils sont comme des traîtres à leurs propres subordonnés, et il est grand temps de leur montrer la porte.

Taxer les poubelles, c’est comme inviter les décharges sauvages à s’installer sur nos trottoirs. Bravo, les écologistes ! C’est pourtant si simple de balayer et de ramasser. Mais non, il faut que cela devienne un casse-tête bureaucratique. Pendant ce temps, les asticots et les rats se régalent, et nous, nous payons pour sauver la planète. Quel beau paradoxe !

Les petites taxes s’accumulent, et voilà qu’elles se transforment en grandes souffrances. Nos décideurs, perchés dans leur tour d’ivoire, n’ont aucune idée de ce que signifie un petit revenu. Ils ne connaissent pas non plus le mot « escroc ». Si l’État continue à nous dépouiller, il finira par ne plus taxer que les héritages et la piqure d’euthanasiant. 

L’hôtel de Lassay, résidence de la Présidente de l’Assemblée Nationale, est un véritable bijou. Qui paie les charges ? La taxe d’enlèvement des ordures, la taxe d’habitation… ne vous inquiétez pas, c’est juste un petit détail.

Ce que Bercy appelle des réductions de dépenses, c’est en réalité une belle manière de dire « augmentation d’impôts ». C’est un peu comme dire que la guerre, c’est la paix, ou s’asseoir sur les résultats électoraux, c’est défendre la démocratie. En fin de compte, tout cela n’est qu’un jeu de mots pour nous faire croire que nous avons encore un peu de pouvoir. Mais ne touchons pas à l’immigration ni aux aides qui en découlent, ne pas toucher à l’AME, ne pas toucher aux subventions publiques aux associations qui attirent les migrants… Ni toucher à l’aide au développement, aux commissions et autres agences d’État ! Là, on commence à jouer avec le feu.

En somme, la taxe sur les ordures est un parfait exemple de la manière dont nos élus transforment des problèmes simples en véritables labyrinthes administratifs. Alors, la prochaine fois que vous jetterez un déchet, pensez à la belle aventure que cela représente.

Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du MENSONGE défend la liberté d’expression !
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