Les milices islamistes des RSF soudanaises ont tué 460 personnes à l’hôpital d’el-Fasher, selon l’OMS ! Un véritable massacré de masse presque passé sous silence dans nos médias partisans et désinformateurs.
Les Forces de soutien rapide (FSR) islamistes ont tué des centaines de civils dans le principal hôpital d’el-Fasher, quelques jours après la prise de la ville soudanaise, selon le directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur en question, a déclaré que l’OMS était « consternée et profondément choquée » par le massacre de 460 personnes dans cet hôpital.
Plus tôt, le Réseau des médecins du Soudan avait indiqué que, mardi, les combattants des FSR avaient « froidement abattu toutes les personnes présentes à l’intérieur de l’hôpital saoudien, y compris les patients, leurs accompagnateurs et toute autre personne présente ».
Le Réseau n’a fourni aucun bilan des victimes, mais a affirmé que les infrastructures médicales de la ville avaient été « transformées en véritables abattoirs ».
La barbarie n’a aucune limite !
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Dévastatrice depuis deux ans, la guerre au Soudan a connu une escalade militaire ces derniers jours, avec les massacres perpétrés à El-Facher, dans le Darfour. Le pays traverse la «pire crise humanitaire» contemporaine, selon l’ONU.
Des dizaines de milliers de morts, des millions de personnes déplacées et un pays qui ne connaît pas le repos. Depuis deux ans, le Soudan est dévasté par une guerre opposant l’armée régulière aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR). Le conflit, déjà sanglant, vient de prendre un nouveau tournant avec la prise d’El-Facher par ces derniers.
La capitale du Darfour du Nord était assiégée depuis dix-huit mois et sa conquête donne le contrôle total de la province aux FSR. Ces forces, menées par le général Mohamed Daglo, y ont d’ailleurs formé une administration parallèle, dans la ville de Nyala.
Les paramilitaires dominent désormais tout l’ouest du pays, alors que l’armée contrôle le nord, l’est et le centre, y compris la capitale Khartoum et Port-Soudan, port stratégique sur la mer Rouge. C’est là que siège un gouvernement de transition formé sous l’autorité du général Abdel Fattah al-Burhane, commandant de l’armée et chef de l’Etat de facto. Le sud du Soudan, lui, est toujours le théâtre de vifs combats.
Les récits des survivants, terribles, évoquent des rues semées de cadavres, des enfants abattus sous les yeux de leurs mères, des viols, la faim, la soif et la peur. Auprès de l’AFP, un membre de l’ONG ALIMA, en poste à Tawila, explique que «certains n’ont pas mangé depuis des jours et ont parcouru de longues distances à pied. D’autres ont été battus, dépouillés ou menacés sur la route. Beaucoup pleurent leurs proches.»
Ni la gauche, qui s’indigne toujours, ni les médias pleurnicheurs, ni les politiques « épris d’humanisme » ne pipent mot face à cette barbarie pourtant bien visible et bien atroce commise par les islamistes au Soudan.
Et, malgré ces faits dramatiques, la propagande refuse la réalité pour laisser place à une :
Indignation sélective et orientée
Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier : Jean-Jacques Badine pour Observatoire du MENSONGE ou https://observatoiredumensonge.wordpress.com
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🇫🇷 Les attaques contre les Chrétiens et les églises augmentent en France et en Europe.
✝️ Entre janvier et mai 2025, 322 actes anti-chrétiens ont été recensés (+13 % vs 2024).
Les incendies criminels ont bondi de 30 % en 2024, et 820 vols d’objets liturgiques ont été signalés (+23 %).
Un constat inquiétant confirmé par les rapports de :
🔹 OIDAC (Observatoire de l’intolérance et des discriminations envers les chrétiens en Europe) – rapport 2024
🔹 DNRT (Direction nationale du renseignement territorial) – bilan 2024 consulté par Europe 1
Le 26 septembre 2025, 86 sénateurs ont signé une tribune dénonçant « l’abandon des chrétiens » par l’État français et appelant à un dispositif national de signalement et de protection des lieux de culte.
Eloïse Daniel M
Journaliste.
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Dessin de couverture par TIVIN
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Les deux faces d’une même idéologie