Le greenwashing (stratégie ecofriendly, francisé éco-amical) consiste à illusionner les consommateurs candides, en adoptant un aimable profil industriel écoresponsable, à l’aide d’argumentaires écologiques mensongers, puis d’une stratégie de communication et de promotion marketing dévoyée. Le greenhuching (écosilence) est une méthode honnête des entreprises qui appliquent de bonnes techniques de production industrielles dans le respect silencieux des normes environnementales, donc sans en faire état pour ne pas évoluer à contre-courant de la politique délétère du greenwashing, que protège et favorise le lobbying emmené par le club des milliardaires de Davos. Ce renoncement à entrer dans une communication utile, sincère et dans le détail envers un public pourtant demandeur (quelle utilisation de matières premières naturelles, locales et biodégradables, quels sont les prélèvements respectueux de la biodiversité pour la fabrication de produits… ?), place ces entrepreneurs dans une situation inconfortable dans un monde où la vérité est prétendument exigée. Mais lorsque cette vérité dérange, la discipline obligée devient celle des géants de l’économie mondiale, indexée aux écolos pour s’offrir la meilleure garantie de consommation.
En ne cherchant pas à associer ses affaires avec des partenaires qui savent user de l’écoblanchiment, le couloir de fonctionnement se rétréci pour les partisans de cet écosilence*. Ce racket intellectuel, commercial et financier est largement soutenu par la secte WEF, qui font du greenhushing*, une communauté de paria. La contremesure employée par cette secte procède à faire circuler la rumeur que l’utilisation de produits réellement écologiques amoindri leur efficacité, leur goût ou leur longévité, ce qui, dans le prolongement commercial, rend l’engagement du greenhushing contre-productif. En se refusant de déployer assez d’informations quant aux moyens écologiques pour présenter un produit, donc pour éviter les sanctions d’un marché global complice de l’écoblanchiment, cette attitude passe pour un manque de transparence envers le consommateur. Sur ce point d’orgue, les meilleurs intentions et pratiques écologiques ne sont donc pas récompensées, voire s’exposent cruellement à la fronde corporative, politique, fiscale, syndicale et médiatique emmenée par la mafia du WEF.
Cette faiblesse de l’écosilence est grandement exploitée par les détracteurs favorables au business de l’écoblanchiment, ainsi aperçu dans le journal Travel Research en 2020, sur une étude menée en Autriche, mais aussi lors de la COP 27 en Égypte en 2022, puis encore par l’ONU. En conséquence, selon un sondage réalisé par le consultant South Pole : « Sur 1 200 compagnies sondées dans douze pays différents en phase avec les objectifs de l’accord de Paris (COP 21 du 12 décembre 2015), ¼ ne compte pas publier les détails de leur plan et de leur engagement ». De surcroît, aucune législation internationale, n’ose à ce jour adopter une résolution pour réglementer la publication desdits détails sur les avancées et les progrès écologiques relevant de techniques, et de l’origine naturelle des produits ou matériaux, quant à fournir des documents vérifiés et comparables. En l’occurrence, bien que de nombreuses entreprises font l’effort d’œuvrer dans le bon sens de la morale et du respect de la planète, les impostures et la félonie des partisans du greenwashing font leur loi, et l’impose erga omnes puisqu’aucun plan d’action n’est engagé en faveur de l’environnement et du marketing vert. Les COP (écolo-politiques) ne font que servir les intérêts privés assis sur l’écoblanchiment plutôt productif, et qu’importe la Planète !
Par voie de conséquent, des entreprises, prises au piège de cette conjuration emmenée par les tenants du greenwashing, et de la demande de transparence des clients qui les place en position inconfortable devant les groupes de pressions concurrents et antagonistes, se trouvent dans l’obligation de ralentir et baisser le volume de leur production, voire d’interrompre leurs objectifs de développement. Selon Jason Jay (Directeur de Sustainability Initiative au MIT Sloan), « Seulement 160 grandes entreprises sur la Planète seraient responsables de 80 % des émissions mondiales. Placées sous haute surveillance, celles-ci ne seraient vraisemblablement pas responsable d’une épidémie mondiale de greenhushing régressif ». Il fallait oser le dire ! Ce qui tend à rendre plausible la puissance infernale d’un système global, emmené par la mondialisation politique de l’industrie, de l’énergie, de l’économie et de la finance privée, qui ne saurait s’exprimer avec une telle audace si elle n’était pas placée sous la protection des mafieux du World Economy Forum et la social-démocratie complice.
La plateforme d’intelligence stratégique du WEF laisse poindre une foule de mécontentements d’industriels. Ceux-là veulent prendre au sérieux leur rôle environnementaliste par le lancement commercial de leur production, et cela même parfois à contre-courant des mouvements écologistes qui se sont eux-mêmes noués un fil à la patte en se compromettant avec les lobbies industriels et financiers dudit WEF, solidaires des pratiques de l’écoblanchiment. Lucides et courageux, bien des intervenants à ce symposium indiquèrent qu’il y a du greenwashing dans les COP :
« Nous pouvons voir comment les entreprises sont prises au piège… Ce professeur de comptabilité dit que choisir de rendre compte ou non des progrès sur les objectifs de développement durable se résume à : ”Qui vous voulez mettre en colère” ! ». Ce fut en ces termes ques’exclama un intervenant signé Wharton (Source : Centre Nature et climat, 18 novembre 2022, et Action ESG, par Jean Letzing). Par ses choix industriels, notamment avec la propulsion par le tout électrique et de n’énergie nucléaire, nul doute que Macron adhère à tout ce qui est corrompu, pollué, mensonger et perfide.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Sommaire :
1°) Une écologie fondée sur le greenwashing vsle greenhushing
2°) À force de vouloir se verdir à coup de COP, Macron finira vert-de-gris
3°) L’éco-mondialisme COoPté écoblanchisseur
4°) La colonisation industrielle dans le tiers-monde : qui joue la carte gagnante ?
5°) La Planète au ban des écologistes vendus aux industriels
Temps de lecture = 6 minutes
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Le livre qu’il fallait oser écrire et qui traite d’un sujet gravissime et bien réel qui met en grand danger la France : l’islamisme !
la France de Macron a fait de notre pays un régime collectiviste, dit mondialiste qu’épaule le communautarisme islamique des Frères musulmans, avec son lot d’inquisition, de délation et de censures injustifié.
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