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Ouilla… Retenez-moi ou je défonce la porte ouverte !

Publié le 07 novembre 2025 par Observatoiredumensonge

Comediante va ! 

Imaginez la scène : Dupond-Moretti et Estrosi, nez à nez dans un restaurant chic de Nice, savourant des châtaignes à la niçoise avant de se lancer dans une tarte aux gnons. 

Un dîner tranquille ? Que nenni ! Le ton monte plus vite qu’un soufflé au fromage, et les insultes fusent comme des feux d’artifice un 14 juillet.

Tout commence avec Dupond-Moretti, pensant passer une soirée paisible avec des amis. Mais voilà, Estrosi, le maire, s’invite à la fête sans avoir reçu de carton d’invitation. Et là, c’est le drame !

Estrosi : « Ici, je suis avec de vrais amis. »

Dupond-Moretti : « Toi, tu es surtout un courtisan permanent. »

Un malaise s’installe, et les convives se demandent s’ils ne devraient pas sortir les pop-corn. Les échanges deviennent piquants, presque savoureux :

Estrosi : « Espèce d’intermittent du spectacle ! »

Dupond-Moretti : « Et toi, pas un intermittent de la connerie. »

Et la menace tombe comme un soufflé raté ;

Dupond-Moretti :  « Je vais t’en coller une. ». 

Estrosi en quittant la table, après une proposition de bagarre dans la rue par l’ancien ministre, il lui lançait une dernière pique : « Tu seras bientôt OQTF à Nice« . 

Ah, la politique, ce grand théâtre où les acteurs se battent pour le premier rôle !

Dans ce panier de crabes, un combat d’égo s’est engagé. Ces deux spécimens de Géosesarma (crabe vampire) se disputent le territoire comme des enfants dans une cour de récréation. Ils finiront tous les deux — rouge cramoisi — non pas de colère, mais de honte, dans le bouillon amer de leur vie politique clinquante.

Il est presque comique de voir ces figures politiques se comporter comme des collégiens, des catcheurs de salon, se ridiculisant devant des clients médusés. C’est un bal des guignols, et nous, le public, payons cher pour ce spectacle pitoyable.

C’est bien dommage que cela se soit terminé en eau de boudin. Imaginez un instant si ces deux couillons s’étaient réellement mis sur la gueule ! On aurait eu droit à un scénario digne des plus grands films comiques. Même les voyous des années 50-70 avaient plus de classe et, surtout, plus d’honneur.

Alors, chers lecteurs, la prochaine fois que vous dînez dans un restaurant huppé, gardez l’œil ouvert. Qui sait, peut-être assisterez-vous à la prochaine altercation entre des acteurs de la comédie politique française. En attendant, n’oubliez pas de prendre des notes, car ce spectacle, même s’il est pathétique, est aussi hilarant !

Ouilla… Retenez-moi défonce porte ouverte
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