Des mots pour des maux !

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🔵 Des mots pour des maux !

« Sous la présidence non éclairée de Macron, depuis mai 2017, la dette et l’insécurité ont explosé, le pouvoir d’achat a implosé ! »

Qu’est-ce qui caractérise le mieux la politique c’est le baratin. Nos « polititocards » aiment mentir comme des arracheurs de dents et nous vendre du faux pour du vrai. Celui qui paie toujours c’est le brave citoyen pris, souvent à juste raison, pour un couillon. Pendant ce « en même temps », la France sombre comme le bateau ivre qu’elle est devenue et le retour aux combines politiques bat son plein. Au passage, il faut encore et toujours le rappeler : « L’État c’est NOUS !« 

En France, nous avons des experts pour couler l’économie et ce sont les politiques, finalement tous les politiques. Donc à moins d’un réveil total et actif des Français qui iraient voter en masse pour éliminer tous ces nuisibles, la France va fermer… Définitivement !

Dans cette vidéo, je dis vraiment ce que je pense sans aucun détour ni langue de bois et n’hésitez pas à vous abonner à notre chaîne YOUTUBE pour nous soutenir !

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« A force de mentir, ils se sont persuadés de dire la vérité ! » 
« L’insécurité est le reflet d’une France perdue ! »

« La Macronie est bel et bien une société à irresponsabilités illimitées… »
Alexandre Goldfarb

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Alexandre Goldfarb
pour Observatoire du MENSONGE ou https://observatoiredumensonge.com

Pour « les tu crois » « t’es sûr » et autres « c’est pas vrai » et « la télé l’a dit » :

Nouvelle taxe gravissime :
les retraités qui travaillent ne pourront percevoir qu’un salaire inférieur ou égal à leur retraite.
 Or, le retraité qui travaille c’est parce que sa retraite est insuffisante à assurer ses fins de mois.
Les cerveaux malades qui sont au pouvoir ne seront pas touchés par leurs mesures, comme par enchantement.

Sur ce nouveau dérapage de la Macronie progressiste et de gauche, fait avéré, on entend pas beaucoup l’opposition de droite !
Et toujours aucune mesure contre les OQTF, AME ou AMS, dont le coût exorbitant ne cesse d’augmenter parce que « touche pas à mon pote ».