Les petites marches comptent double à partir du moment où on continue à avancer

Ce soir je voulais faire la maligne (ma boss me l'a dit aujourd'hui, vous n'êtes pas gentille, vous êtes maligne; je l'ai pris pour un compliment, surtout après qu'elle ait reconduit mon CDD)
J'ai voulu regarder un film avec ma fillemabataille.
Quelle naïveté j'ai de croire que les films dans lesquels joue Will Smith vont être des moments de franche rigolade (Je me suis bien faite avoir avec "Je suis une Légende").
L'histoire d'un père et de son fils, la galère avec le sourire, ben voyons, allons y, partageons ce moment avec ma Chose.
Cela se passe à San Francisco (plus que 8 mois les amis) la ville de toutes mes pensées.
C'est avec Will, personnage que j'affectionne particulièrement.
Je suis en train de me refaire "the Fresh Prince of Bel Air".
Crois moi qu'avec ça et "My Name is Earl" on rigole bien dans les chaumières en ce moment.
Sauf que là, ben non.
C'est tirée d'une histoire vraie, celle de Chris Gardner, un type parti de rien, qui est tombé très bas dans les années 80.
Par ce que la vie est un concours de circonstances et que quand elle veut, elle ne te fait pas de cadeau (c'est poncif mais vrai).
Faut pas l'oublier.
Il s'est accroché aux branches et a réussi. God Bless America.
Ok.
Bref.
Cela te remet bien le principe de la réalité dans ta face*:
la Vie te donne comme elle te reprend, l'important est de ne compter que sur soi même pour garder le cap.
J'ai versé ma tite larme à la fin, parce qu'il en a vraiment chié le gars et qu'il méritait les honneurs.
Cela me rappelle que dernièrement une personne m'a dit que j'emmerdais avec mes principes à la con et que je ferais mieux de me remettre en question.
Ben non.
Justement.
J'y tiens parce que le point est que tu ne sais pas ce que te réserve demain et que j'ai bien l'intention d'en profiter. Quitte à devoir compter que sur moi même.
A ce sujet, t'ai je parlé de mes vacances prochaines aux Baléares? Non?
Une autre fois...yerk yerk
Bonne nuit
* dédicace au Lapin