Voilà. C'est fini. L'été s'en va, enfin, doucement, laissant ici ou là, papiers gras et fesses bronzées, détritus récurrents. Déjà, l'incinérateur et l'heure de labeur oeuvrent de concert à supprimer cette crasse. Ah ! Quel doux moment que cet instant magique, fragile aussi, qu'est celui de la fin de l'été. Semblable aux dernières notes d'un morceau fétiche, le paysage se compose alors de petites touches épurées, c'est tout léger. Cet instant précieux ne s'appartient pas, il se devine, s'entrevoit. Désolé, il ne peut ce, par ex.: ce problème." class="ver">se souiller. Il est là et puis c'est tout.