C’est rue Polonceau (« ingénieurs du chemin de fer, père et fils ») au numéro quatre (4), l’immeuble a cet aspect cossu, propre du moins, certainement pas riche, mais habitable si on le compare à celui qui est en travaux à côté (« logements et ateliers d’artistes, travaux prévus de nov 2007 à fév 2009 » avec son barbelé en surplomb du mur qui fait songer à Gaza si on veut. Agnès a hésité, compté les platanes de la place (exactement sept) étudié la peinture de la porte (rouge basque ?) et avance. Il est pile deux heures, nuit pleine.