Vive la rentrééééééée

Publié le 03 septembre 2007 par Anaïs Valente



6h20. Le réveil sonne. J'ai dormi trois heures, grand maximum. Une angoisse de rentrée, totalement infondée puisque je ne "rentre" nulle part… Etrange comme d'anciens stress peuvent ressurgir. J'ai toujours détesté les rentrées des classes (sauf si j'avais une nouvelle mallette et un nouveau plumier, je vous en ai déjà parlé). Je déteste septembre. Octobre aussi d'ailleurs.

Il fait tout noir, on se croirait en novembre. Il pleut, on se croirait en novembre. Il fait froid, on se croirait en novembre. Je hais novembre. (Je sais, je râle tout le temps).

Je me traîne au bureau. Je suis de super humeur. Il pleut. J'ai froid. Fait noir. Novembre. Râle. Bla bla bla.

J'arrive et je lis le journal du samedi (Vers l'Avenir) comme d'habitude (qui ose dire que je glande le lundi matin ?) Je me penche plus particulièrement (en fait, uniquement, les autres infos m'étant totalement inutiles) sur le petit dessin de Sondron en dernière page. Il maîtrise parfaitement l'art de l'humour cochon, et j'adore ça. La semaine dernière, le cochon apportait cyniquement sa nouvelle mallette à son compagnon. Cette semaine il le pousse ironiquement vers l'école. A mourir de rire. J'adore.

Je crois être victime d'un mirage : je lis "Anaïs Valente", à gauche du cochon. Décidément ma pauvre vieille, il est temps que tu prennes du repos. Je suis tellement obsessionnée par mon blog que je le vois partout. L'heure est grave. Docteur Psy, heeeeelp.

Vérification faite, pas besoin de Docteur Psy, pas besoin de repos. Il s'agit bel et bien de mon nom. Et de mon article Wallonieland, 29 août 2011 (et non 2001 comme je l'avais indiqué préalablement, merci Cayo pour ta vigilance). Youpie. Seconde fois. Puisse-t-il en faire réfléchir certains. Chuis contente tiens. Vachement contente. Je râle pu.  Promis.