Bon, ami lecteur, j'arrête de t'emmerder avec mon suspens à deux balles.
Si, si.
On s'est bien marrés, c'était très sympa, la bière était fraîche et les énigmes amusantes, on se serait presque crus dans un épisode de Fort Boyard pour adolescent boutonneux, avec toute
une équipe de pom-pom girls en guise de concurrents et Michel Fourniret dans le rôle du Père Fourasse.
Si tu le permets, je vais donc te laisser avec le dernier épisode des cliffhangers, ça te passera le temps, et ça te permettra peut-être de deviner ce qui t'attend après le week-end.
J'ai bien pensé à lancer un concours, un peu comme Frida qui fait gagner des godemichets et des vibromasseurs à ses lecteurs,
mais je suis un peu dans la dèche, et je ne savais pas trop quoi te proposer. J'aurais pu te proposer de gagner les restes qui encombrent mon frigo, ça m'aurait bien débarrassée, et puis tu y
aurais trouvé ton compte en ayant l'excuse d'une courante monumentale pour ne pas aller bosser.
Mais en fait, non, va mourir, je ne te refilerai pas la viande avariée, ni les légumes moisis qui sont en train de transformer ma cuisine en paradis pour charançons.
Exit le concours, donc.
Il te reste donc à essayer de trouver la réponse à la charade que la Vieille Chatte a pondu sur
son blog, et qui autant donne les clés de l'énigme que mes petits bricolages audiovisuels.
Sur ce, je t'embrasse, bon week-end, couvre-toi bien, reviens lundi si tu n'as rien de mieux à faire, et tu auras le fin mot de l'histoire, dont tu te contrefous peut-être mais là n'est pas la
question, puisque je suis sur mon blog et que je m'amuse comme je peux (tu as le droit de me lancer dédaigneusement "get a life", et j'ai le droit de te répondre d'aller d'épiler le maillot avec
un coupe-ongles rouillé ).