Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière/Audiard

Publié le 26 septembre 2008 par Series
Je suis enfin arrivée à extirper (j'adore ce mot) les photos de mon téléphone...
D'où cette réminiscence estivale que tu contemples mon cher lecteur.
Tu sais que je t'aime toi? Tu sais qu'il faut se le dire que l'on s'aime? Tu le sais, dis?
A y est, je sors de la chrysalide (ceux qui suivent mes turpitudes depuis un certain temps comprendrons)
Comme toute naissance il y a un côté douloureux, vertigineux et euphorique.
D'où un aspect cyclothymique.
Ceux qui m' ont retrouvée après l'été, c'est évident. Il parait que je suis méconnaissable et on me tire le chapeau.
La silhouette, c'est un fait, une attitude aussi, ça, j'ai du mal à en être convaincue.
Je suis encore en dedans de moi même et reste peu objective.
Et puis entre "Cliente", "Mamamia" (là je savais pas où j'allais, j'ai un brin halluciné) et le dernier Kureishi (oh toi toi toi, comment fais tu pour que je tombe amoureuse des hommes de tes bouquins au point d'en rêver la nuit?), je suis rassurée pour les décennies qui arrivent.
Il y a encore un paquet de trucs cools à vivre!
Alors, vive Moi, vive Toi, vive Nous!
Bonne journée
(spéciale dédicace à Anakin pour m'avoir révélé un lien magique qui m'oblige à me procurer un disque dur externe tellement mon Mac est rempli de zik! merci gars!)