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Attraper les mouches en plein vol

Publié le 26 septembre 2008 par Gilles Poirier
J’ai eu la confirmation cette après-midi, je rentre bien comme prévu le 3 octobre. Cela fera 3 semaines et demie sur le site et c’est bien suffisant. C’est la fin de chantier et cette fois je suis presque sûr de ne pas avoir à revenir ici vu que tout fonctionne. Ces derniers jours, n’ayant pas une charge de travail trop importante, j’ai été chargé de faire l’inventaire des pièces de rechanges qui sont rangées dans un container. Le problème majeur avec ce travail, ce sont les mouches. Elles sont particulièrement agressive et pénible ici, collant littéralement et on n’arrive pas à s’en défaire, surtout quand on doit travailler dans un container non climatisé en extérieur et que l’on doit affronter l’autre problème, la chaleur. Enfin il faut que je repère la bonne pièce dans la liste, quand elle y est, et que je sache la reconnaitre, car comment faire la différence entre une bride 1"1/2 et une de 1"3/4 quand je ne connais pas grand-chose en mécanique. En plus, la moitié de la liste est en anglais et l'autre en italien, faut savoir que "Golfare" veut dire écrou frein en italien. Heureusement, je ne peut pas tenir plus d'une heure dans ce container et je m'échappe des que je peux sur le site ou je retrouve mon atmosphère climatisée et fermée sans la moindre mouche, et si par hasard une d'entre elles arrivait à se glisser dans la pièce, les collègues travaillant avec moi sont des spécialistes pour attraper les mouches en plein vol (moi je suis hélas nul en ce sport bien utile).

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