Deux expertises ont par ailleurs conclu qu'au vu des dégâts constatés sur les deux véhicules, le choc n'avait pu avoir lieu, du moins tel que décrit par l'automobiliste. Lundi, la justice a finalement donné raison à Jean Sarkozy, les magistrats le déclarant "non coupable des faits qui lui sont reprochés". Ils ont par contre condamné l'automobiliste, partie civile, à lui verser deux mille euros pour "procédure abusive".
source lemonde.fr