Publié le 30 septembre 2008 par Anaïs Valente

Ce titre sonne vraiment comme le summum de la victimisation.  Mais bon, c'est vrai quoi, je suis une pauvre victime de la vie... et surtout d'une namuroise sans scrupules... et puis aussi d'un namurois déjanté.  Jugez plutôt...

On m'a déjà tout fait depuis que j'ai créé ce blog : m'accuser de tous les maux de la terre, me piquer mes textes, me draguer honteusement, me proposer de tester des sex toys, sans oublier tout ce dont je n'ose jamais vous parler, pour préserver votre innocence et ne point vous traumatiser...

Un beau matin (enfin un moche matin, vu ce qui va suivre, mais je l'ignore encore à l'instant T, of course), je reçois, sur Culchèvre, un message d'un illustre inconnu, qui ne fait d'ailleurs même pas partie de mes innombrables amis également inconnus. 

Le message commence par "merci pour la soirée d'hier".  Glups.  Gros problème, d'ores et déjà, vu que la veille, malade, je me suis vautrée sur le canapé dès mon retour du bureau, pour ensuite me traîner lamentablement jusqu'au lit et sombrer dans un sommeil lourd peuplé de cauchemars fiévreux.

La suite n'est pas plus agréable.  Sur un ton doucereux, des menaces à peine voilées, du style "la liberté de la presse a des limites, fais attention à toi, tu es sur le fil du rasoir" (pour préserver l'anonymat absolu des protagonistes, les termes exacts ont été modifiés).

Interloquée, je demande immédiatement à en savoir plus.  Et comme le message comporte, en objet, un prénom féminin suivi d'un chiffre, je réfléchis un bref instant (à savoir, mon neurone fils unique se met au travail en rouspétant).  Ne serait-ce point un pseudo d'un site de rencontres ?  Je file sur la célèbre page orange belge, à la recherche de ce pseudo.  Nada.  Je songe ensuite à l'autre site de rencontres bien connu (vous savez, celui qui rime avec "nique").  Je me crée dare dare un profil masculin bidon, indispensable pour avoir accès aux profils féminins, je tape le prénom en question, le chiffre en question et bingo, je trouve une namuroise de 34 ans affublée dudit pseudo.  Bien sûr, impossible de la contacter, sauf à payer une dîme exorbitante.  Namuroise de 34 ans... ce ne peut être un hasard.  Du moins, l'imagine-je (c'est nin français, cette tournure, mais j'aime bien, tant pis).

Entre-temps, mon vilain correspondant de Culchèvre se répand encore en menaces, de moins en moins voilées.  En substance : je me suis trahie en parlant de site de rencontres (ben non, chuis juste intelligente), mes propos révèlent que je sais tout (je ne sais rien mais je dirai tout, comme dans le film), il a porté plainte contre moi (sauf que c'est pas moi, détail que cela), et j'en passe et des meilleures.  Je crois cependant comprendre, entre les lignes, que cette fameuse namuroise de 34 ans (bouhouhou, plus jeune que moi), se fait passer pour moi durant ses rendez-vous galants obtenus sur internet.  Ou à tout le moins durant ce rendez-vous précis de la veille.  Et il semble qu'elle n'y va pas de main morte.  Si elle était jolie comme un cœur, intelligente comme Miss Belgique, douce comme un agneau et agissant comme un faire valoir anonyme de ma petite personne, je serais ravie.  Mais aux dires de l'individu de Culchèvre, elle serait du genre à proférer des menaces et profiter de son statut de "célébrité" (sic) pour menacer, faire chanter, voire pire.  Tout cela, je l'extrapole, of course.  Mais je pense que j'extrapole bien.

Pour faire bref procès, je propose une solution radicale, qui prouvera que je ne suis pas la personne en question : une rencontre.  Ben oui quoi, en découvrant qui est réellement Anaïs Valente, ni jolie, ni intelligente, ni douce, mais pas non plus cette personne malhonnête du site de rencontres.

Après avoir accepté une rencontre le midi même, il se rétracte d'un coup d'un seul et prétexte des réunions, du boulot et un manque de temps (excuses bidons décelables à vingt kilomètres), non sans m'avoir demandé mon pseudo sur la page orange (re-sic). Ben voyons.

Depuis lors, plus aucun signe de vie.

La morale de l'histoire est que :

- soit un fou furieux aborde les blogueuses en les menaçant et en inventant des histoires abracadabrantes, pour une raison obscure,

-soit une namuroise se fait réellement passer pour moi et rencontre un tas de mecs (argh, la garce), puis les menace en invoquant son job de journaliste...

- soit, pire, bien pire : les deux à la fois.

Zen pensez quoi, vous ?

Alors que les choses soient claires entre nous : je ne suis actuellement sur aucun site de rencontres (mes profils sont en hibernation) et je n'ai plus rencontré qui que ce soit depuis... oufti, déjà tout ça, par manque de temps, d'énergie, d'argent, ou que sais-je encore.

Donc, si une namuroise de 34 ans (pseudo exact disponible sur simple demande), prétendant s'appeler Anaïs Valente, tenir un blog et écrire pour la Meuse, vous contacte, fuyez à toutes jambes, car la pathologie mentale la guette.

Et si vous connaissez quelques trucs pour que je fasse cesser ce genre d'agissements, je suis preneuse, passque le site web en question ne bronche pas...

Ce titre sonne vraiment comme le summum de la victimisation.  Mais bon, c'est vrai quoi, je suis une pauvre victime de la vie... et surtout d'une namuroise sans scrupules... et puis aussi d'un namurois déjanté.  Jugez plutôt...

On m'a déjà tout fait depuis que j'ai créé ce blog : m'accuser de tous les maux de la terre, me piquer mes textes, me draguer honteusement, me proposer de tester des sex toys, sans oublier tout ce dont je n'ose jamais vous parler, pour préserver votre innocence et ne point vous traumatiser...

Un beau matin (enfin un moche matin, vu ce qui va suivre, mais je l'ignore encore à l'instant T, of course), je reçois, sur Culchèvre, un message d'un illustre inconnu, qui ne fait d'ailleurs même pas partie de mes innombrables amis également inconnus. 

Le message commence par "merci pour la soirée d'hier".  Glups.  Gros problème, d'ores et déjà, vu que la veille, malade, je me suis vautrée sur le canapé dès mon retour du bureau, pour ensuite me traîner lamentablement jusqu'au lit et sombrer dans un sommeil lourd peuplé de cauchemars fiévreux.

La suite n'est pas plus agréable.  Sur un ton doucereux, des menaces à peine voilées, du style "la liberté de la presse a des limites, fais attention à toi, tu es sur le fil du rasoir" (pour préserver l'anonymat absolu des protagonistes, les termes exacts ont été modifiés).

Interloquée, je demande immédiatement à en savoir plus.  Et comme le message comporte, en objet, un prénom féminin suivi d'un chiffre, je réfléchis un bref instant (à savoir, mon neurone fils unique se met au travail en rouspétant).  Ne serait-ce point un pseudo d'un site de rencontres ?  Je file sur la célèbre page orange belge, à la recherche de ce pseudo.  Nada.  Je songe ensuite à l'autre site de rencontres bien connu (vous savez, celui qui rime avec "nique").  Je me crée dare dare un profil masculin bidon, indispensable pour avoir accès aux profils féminins, je tape le prénom en question, le chiffre en question et bingo, je trouve une namuroise de 34 ans affublée dudit pseudo.  Bien sûr, impossible de la contacter, sauf à payer une dîme exorbitante.  Namuroise de 34 ans... ce ne peut être un hasard.  Du moins, l'imagine-je (c'est nin français, cette tournure, mais j'aime bien, tant pis).

Entre-temps, mon vilain correspondant de Culchèvre se répand encore en menaces, de moins en moins voilées.  En substance : je me suis trahie en parlant de site de rencontres (ben non, chuis juste intelligente), mes propos révèlent que je sais tout (je ne sais rien mais je dirai tout, comme dans le film), il a porté plainte contre moi (sauf que c'est pas moi, détail que cela), et j'en passe et des meilleures.  Je crois cependant comprendre, entre les lignes, que cette fameuse namuroise de 34 ans (bouhouhou, plus jeune que moi), se fait passer pour moi durant ses rendez-vous galants obtenus sur internet.  Ou à tout le moins durant ce rendez-vous précis de la veille.  Et il semble qu'elle n'y va pas de main morte.  Si elle était jolie comme un cœur, intelligente comme Miss Belgique, douce comme un agneau et agissant comme un faire valoir anonyme de ma petite personne, je serais ravie.  Mais aux dires de l'individu de Culchèvre, elle serait du genre à proférer des menaces et profiter de son statut de "célébrité" (sic) pour menacer, faire chanter, voire pire.  Tout cela, je l'extrapole, of course.  Mais je pense que j'extrapole bien.

Pour faire bref procès, je propose une solution radicale, qui prouvera que je ne suis pas la personne en question : une rencontre.  Ben oui quoi, en découvrant qui est réellement Anaïs Valente, ni jolie, ni intelligente, ni douce, mais pas non plus cette personne malhonnête du site de rencontres.

Après avoir accepté une rencontre le midi même, il se rétracte d'un coup d'un seul et prétexte des réunions, du boulot et un manque de temps (excuses bidons décelables à vingt kilomètres), non sans m'avoir demandé mon pseudo sur la page orange (re-sic). Ben voyons.

Depuis lors, plus aucun signe de vie.

La morale de l'histoire est que :

- soit un fou furieux aborde les blogueuses en les menaçant et en inventant des histoires abracadabrantes, pour une raison obscure,

-soit une namuroise se fait réellement passer pour moi et rencontre un tas de mecs (argh, la garce), puis les menace en invoquant son job de journaliste...

- soit, pire, bien pire : les deux à la fois.

Zen pensez quoi, vous ?

Alors que les choses soient claires entre nous : je ne suis actuellement sur aucun site de rencontres (mes profils sont en hibernation) et je n'ai plus rencontré qui que ce soit depuis... oufti, déjà tout ça, par manque de temps, d'énergie, d'argent, ou que sais-je encore.

Donc, si une namuroise de 34 ans (pseudo exact disponible sur simple demande), prétendant s'appeler Anaïs Valente, tenir un blog et écrire pour la Meuse, vous contacte, fuyez à toutes jambes, car la pathologie mentale la guette.

Et si vous connaissez quelques trucs pour que je fasse cesser ce genre d'agissements, je suis preneuse, passque le site web en question ne bronche pas...