Imaginez. Une jolie maison. Ou un appartement. Mieux encore : un duplex. Bien éclairé. Bien spacieux. Ou un tout petit logement sous les combles. Un mur blanc. Une chambre d'enfant. Un hall accueillant. Un living orné d'un feu ouvert. Une ambiance cosy. Ou moderne.
Moi, ce samedi, j'ai imaginé. Que mon bordel se range d'un coup de baguette magique. Que mes murs se libèrent. Que du mobilier moderne et design viennent vivre chez moi. Que les piles de magazines, les rayonnages de livres, les kilos de vêtements entassés soient emportés par des souris à la Disney vers le bac à linge ou les armoires. Et que les décos de Yungja envahissent mon home sweet home, ou plutôt mon home dirty home.
Passqu'aujourd'hui, après une semaine bien remplie par le FIFF (suite et fin publiées demain, si je trouve le temps), comme je m'ennuyais (je rigooooole hein, j'en rêve tellement en ce moment, de m'ennuyer), je suis allée manger en ville avec des amies, faire un petit tour avec ma filleule et puis, enfin, découvrir les œuvres de Yungja à Créativa Namur.
Je suis arrivée d'une humeur de chien, passque j'étais fatiguée, passque j'avais chaud avec ma grosse veste et mon écharpe Strelli de plein hiver, passque j'avais soif, passque le bus n'avait que 16 minutes de retard, passque les gens de l'accueil ne retrouvaient pas l'invitation qui m'était destinée, et passque je n'avais qu'une envie : m'ennuyer chez moi.
Puis j'ai vu le stand de Yungja, joliment appelé « je peins comme j'écris ». Et mon humeur de chien s'est envolée comme par enchantement.
Je vous ai déjà parlé de Yungja, il y a quelques mois. Mais j'ai envie d'en reparler. Passque je suis ici chez moi et que je cause de ce qui me chante (non mais, j'ai pas de comptes à rendre). Mais surtout passque j'aime les Namurois. J'aime les Namurois qui osent. J'aime les Namurois qui créent de jolies choses. J'aime les Namurois talentueux. Et passque j'ai découvert, d'un coup d'un seul, un échantillon de tout ce qu'elle fait, que je n'avais, à ce jour, vu que sur le net. Et bien, en vrai de vrai, c'est encore mieux. Et Yungja, en vrai de vrai, elle est adorable : sympa, jolie et passionnée. C'est l'essentiel non ?
Alors voilà, je n'ai pas pris d'actions dans son entreprise, je ne touche pas de commission sur ses ventes, rien de rien, j'ai juste envie de vous en parler et de vous inviter, vous, ô Namurois qui passerez ici ce WE, à vous rendre à Créativa ce dimanche (il va pleuvoir en plus), rangée N stand 11 (je vous le précise car j'ai cherché comme une dingue, en vain, pour ensuite me résoudre à aller à l'accueil pleurer après de l'aide - blonde, moi ? Meuh nan), pour découvrir ses œuvres. De jolies idées cadeau, pour une naissance, pour un déménagement, pour des enfants ou des parents, pour des célibataires aussi d'ailleurs.
Et si vous n'avez pas le temps, vous pouvez découvrir son travail sur son site.
Ce que j'ai vu d'autre à Créativa, me demandez-vous ? Et bien rien, passque j'ai ensuite quitté les lieux, pour rentrer m'ennuyer chez moi. C'était il y a quatre heures déjà, et je ne suis toujours pas parviendue à m'ennuyer. Bigre. C'en est désespérant, non ?
Imaginez. Une jolie maison. Ou un appartement. Mieux encore : un duplex. Bien éclairé. Bien spacieux. Ou un tout petit logement sous les combles. Un mur blanc. Une chambre d'enfant. Un hall accueillant. Un living orné d'un feu ouvert. Une ambiance cosy. Ou moderne.
Moi, ce samedi, j'ai imaginé. Que mon bordel se range d'un coup de baguette magique. Que mes murs se libèrent. Que du mobilier moderne et design viennent vivre chez moi. Que les piles de magazines, les rayonnages de livres, les kilos de vêtements entassés soient emportés par des souris à la Disney vers le bac à linge ou les armoires. Et que les décos de Yungja envahissent mon home sweet home, ou plutôt mon home dirty home.
Passqu'aujourd'hui, après une semaine bien remplie par le FIFF (suite et fin publiées demain, si je trouve le temps), comme je m'ennuyais (je rigooooole hein, j'en rêve tellement en ce moment, de m'ennuyer), je suis allée manger en ville avec des amies, faire un petit tour avec ma filleule et puis, enfin, découvrir les œuvres de Yungja à Créativa Namur.
Je suis arrivée d'une humeur de chien, passque j'étais fatiguée, passque j'avais chaud avec ma grosse veste et mon écharpe Strelli de plein hiver, passque j'avais soif, passque le bus n'avait que 16 minutes de retard, passque les gens de l'accueil ne retrouvaient pas l'invitation qui m'était destinée, et passque je n'avais qu'une envie : m'ennuyer chez moi.
Puis j'ai vu le stand de Yungja, joliment appelé « je peins comme j'écris ». Et mon humeur de chien s'est envolée comme par enchantement.
Je vous ai déjà parlé de Yungja, il y a quelques mois. Mais j'ai envie d'en reparler. Passque je suis ici chez moi et que je cause de ce qui me chante (non mais, j'ai pas de comptes à rendre). Mais surtout passque j'aime les Namurois. J'aime les Namurois qui osent. J'aime les Namurois qui créent de jolies choses. J'aime les Namurois talentueux. Et passque j'ai découvert, d'un coup d'un seul, un échantillon de tout ce qu'elle fait, que je n'avais, à ce jour, vu que sur le net. Et bien, en vrai de vrai, c'est encore mieux. Et Yungja, en vrai de vrai, elle est adorable : sympa, jolie et passionnée. C'est l'essentiel non ?
Alors voilà, je n'ai pas pris d'actions dans son entreprise, je ne touche pas de commission sur ses ventes, rien de rien, j'ai juste envie de vous en parler et de vous inviter, vous, ô Namurois qui passerez ici ce WE, à vous rendre à Créativa ce dimanche (il va pleuvoir en plus), rangée N stand 11 (je vous le précise car j'ai cherché comme une dingue, en vain, pour ensuite me résoudre à aller à l'accueil pleurer après de l'aide - blonde, moi ? Meuh nan), pour découvrir ses œuvres. De jolies idées cadeau, pour une naissance, pour un déménagement, pour des enfants ou des parents, pour des célibataires aussi d'ailleurs.
Et si vous n'avez pas le temps, vous pouvez découvrir son travail sur son site.
Ce que j'ai vu d'autre à Créativa, me demandez-vous ? Et bien rien, passque j'ai ensuite quitté les lieux, pour rentrer m'ennuyer chez moi. C'était il y a quatre heures déjà, et je ne suis toujours pas parviendue à m'ennuyer. Bigre. C'en est désespérant, non ?