Fatigue intense oblige, nous décidons en ce jeudi pré-fin du FIFF, de zapper le film de fin d'après-midi pour nous contenter de celui de 21h30. Je rentre donc chez moi dès midi (vive le temps partiel) histoire de somnoler lourdement devant mon écran de télévision. Un véritable légume ambulant.
Repartir dans le froid à 21h me démotive un peu, mais après avoir vu « Le chant des mariées », je n'ai aucun regret. D'autant plus qu'il s'agissait de la toute première projection. Une première mondiale. Que du bonheur.
Un film magnifique, franco-tunisien, qui aborde un côté méconnu de la seconde guerre mondiale : le sort des juifs en Tunisie à cette époque. Deux jeunes femmes, Myriam et Nour, amies d'enfance. L'une juive. L'autre musulmane. Toutes deux promises à un mariage arrangé. Lorsque survient la guerre, leur amitié est mise à mal.
En relisant mon petit résumé, je le trouve très « bateau ». Et pourtant, ce film est vraiment superbe, avec des images d'une grande beauté, des émotions en permanence palpables. Je pense notamment au départ des juifs, sur fond de musique forte et émouvante, et à la scène de l'épilation de Myriam, à la musulmane, à la fois impudique et tellement sobre. Superbe. Ça m'a hérissé les poils... c'est le cas de le dire.
Ce film sort en France en décembre. Et en Belgique en février. Je suis ravie d'avoir pu le voir si tôt, et je ne peux que vous inviter à courir le voir dès sa sortie.
Après la séance, la réalisatrice, la productrice et l'actrice Lizzie Brocheré, dont le visage ne m'est pas inconnu (et pour cause, elle a joué dans des tas de séries françaises), ont répondu à nos questions, un peu émue par l'enthousiasme de la salle et par cette première mondiale. Un petit débat fort intéressant. Nous les avons ensuite vues quitter Namur, en direct live. Petit moment de délire, lorsque j'ai réalisé que nous aurions dû demander un autographe à Lizzie Brocheré, star en devenir, j'en suis convaincue. Et lui faire une haie d'honneur, avec de grands cris « Lizziiiiiiiie, Lizziiiiiiiiiie ». Oui, bon, on mettra ça sur le compte de la fatigue. Mais on a bien ri, et c'est l'essentiel, non ? (grande photo issue du FIFF)
Pour voir un petit film sympa, avec le début du film, une interview, et en bonus le générique du FIFF, qui m'a rendue joyeuse toute la semaine, j'adoooore, cliquez ici.
Fatigue intense oblige, nous décidons en ce jeudi pré-fin du FIFF, de zapper le film de fin d'après-midi pour nous contenter de celui de 21h30. Je rentre donc chez moi dès midi (vive le temps partiel) histoire de somnoler lourdement devant mon écran de télévision. Un véritable légume ambulant.
Repartir dans le froid à 21h me démotive un peu, mais après avoir vu « Le chant des mariées », je n'ai aucun regret. D'autant plus qu'il s'agissait de la toute première projection. Une première mondiale. Que du bonheur.
Un film magnifique, franco-tunisien, qui aborde un côté méconnu de la seconde guerre mondiale : le sort des juifs en Tunisie à cette époque. Deux jeunes femmes, Myriam et Nour, amies d'enfance. L'une juive. L'autre musulmane. Toutes deux promises à un mariage arrangé. Lorsque survient la guerre, leur amitié est mise à mal.
En relisant mon petit résumé, je le trouve très « bateau ». Et pourtant, ce film est vraiment superbe, avec des images d'une grande beauté, des émotions en permanence palpables. Je pense notamment au départ des juifs, sur fond de musique forte et émouvante, et à la scène de l'épilation de Myriam, à la musulmane, à la fois impudique et tellement sobre. Superbe. Ça m'a hérissé les poils... c'est le cas de le dire.
Ce film sort en France en décembre. Et en Belgique en février. Je suis ravie d'avoir pu le voir si tôt, et je ne peux que vous inviter à courir le voir dès sa sortie.
Après la séance, la réalisatrice, la productrice et l'actrice Lizzie Brocheré, dont le visage ne m'est pas inconnu (et pour cause, elle a joué dans des tas de séries françaises), ont répondu à nos questions, un peu émue par l'enthousiasme de la salle et par cette première mondiale. Un petit débat fort intéressant. Nous les avons ensuite vues quitter Namur, en direct live. Petit moment de délire, lorsque j'ai réalisé que nous aurions dû demander un autographe à Lizzie Brocheré, star en devenir, j'en suis convaincue. Et lui faire une haie d'honneur, avec de grands cris « Lizziiiiiiiie, Lizziiiiiiiiiie ». Oui, bon, on mettra ça sur le compte de la fatigue. Mais on a bien ri, et c'est l'essentiel, non ? (grande photo issue du FIFF)
Pour voir un petit film sympa, avec le début du film, une interview, et en bonus le générique du FIFF, qui m'a rendue joyeuse toute la semaine, j'adoooore, cliquez ici.