… de notre dernière heure je n’ai retenu que ton pauvre sourire sur le quai, tu semblais triste et confiant cependant, je ne peux vivre sans toi t’avais-je dit en partant et tu semblais en souffrir encore, nous sommes arrachés l’un à l’autre par nos autres vies et ce train n’arrivera peut-être jamais, mais je sais maintenant que nous nous attendons quelque part…
Image: Philip Seelen