(mon analyse aux questions existentielles que se pose Mymy…et peut-être d’autres femmes
Aujourd’hui la femme n’est pas encore et l’homme n’est déjà plus. Force est de constater qu’à clamer haut et fort que la femme n’avait pas les privilèges de l’homme (socialement parlant) une lutte fratricide a eu lieu pour de venir l’égale des hommes. Peut-être arrivons nous aujourd’hui à l’épilogue de ce combat.
Mais analisons le résultat. Les femmes ont gagnées le droit de vote, plus de responsabilité dans les entreprises, une sexualité plus affirmée, du pouvoir dans les instances politiques.
Quand aux hommes ils ont du s’adapter à ce nouvel “envahisseur” que sont les femmes en observant cet être étrange. Il est donc en pleine mutation mais la base d’un genre lui-même en évoution. S’en suit des hommes déboussolés. Ils ont bien compris que pleurer n’était pas une honte, qu’exprimer ses sentiments était une nécessité, que le romantisme permettait d’atteindre le coeur des belles. Mais comment concilier tout cela avec ce qui caractérise, l’homme, son machisme, son rôle de protecteur que pourtant tant de femme apprécie encore.
Alors nous avons compris les femmes aimes les hommes “comme à l’époque” et souhaite tout de même se sentir comprise par des hommes plus proches d’elles et de leurs façon de vivre les émotions et sentiments. Les 2, loin d’être incompatibles, ne demande finalement qu’à les adopter au bon moment et c’est là que le bas blesse. Quand se montrer tendre, quand se montrer protecteur, quand, quand, quand…
Sans doute, après le manuel, sans doute nous reste-t-il à trouver l’horloge des femmes