Non, je n’ai pas le droit de vote pour choisir qui occupera un des postes politiques parmi les plus importants de ma planète.
Je le regrette. J’aurais aimé que ma voix puisse compter en faveur de ce rendez-vous historique alors que nous n’avons jamais été si près d’élire une femme à la tête des États-Unis.
Les médias sont-ils conscients de leur influence et de leur total manque d’objectivité dans leur manière de décrire les candidats?
Oui... aujourd’hui encore, Olympe de Gouges serait décapitée.