Magazine Journal intime

Marc-edouard nabe

Publié le 13 octobre 2008 par Annonymise
Je dois une fière chandelle au plus grand écrivain français vivant. Sans M.E.N (diminutif cher aux nabiens dont je fais partie) je n'aurais certainement pas survécu à l'hyperacousie ni aux acouphènes.
La dépression se serait emparé de moi, m'aurait emporté dans sa charrette grise ; j'aurais vu des soleils noirs et des cieux rouges à jamais, je me serais dissous comme un comprimé de Solupred.
Le fan que je suis avait préparé une lettre d'admiration mais, je ne l'ai pas envoyée par timidité devant ce géant de la littérature dont on ne chantera jamais assez les louanges.
Un jour, je l'enverrai...
" On est vallésien comme on est stendhalien ; par amour de l'homme, du bonhomme, davantage encore que par admiration pour ses écrits" (Michel Tournier).

NABE SOUS SARKOZY

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