Faut aimer...
On peut gloser advitam eternam sur les chanteurs castrés tels que Delerm et Cie qui n'ont rien à dire et le chantent mal.
Cela étant, on ne s'étonnera pas qu'une société sans littérature produise de la variété insipide à prétention littéraire. Delerm père et fils c'est la même petite entreprise de gorgées de sperme tiédasse si je puis dire...
L'icône des "bobo-socialisantes" s'est même permis de chanter les louanges de Modiano, jusqu'à le pister comme une midinette en chaleur dans le square Carnot qu'il fréquente. Quelle magnifique image que celle de l'écrivain dépressif affichant sa déconvenue devant un Delerm onctueux et médusé !
J'aimerais tant revoir cet inénarrable moment de vérité télévisée, diffusé il y a quelques mois dans l'émission du très agaçant et consensuel Guillaume Durand (ouf! il est viré à la rentrée...)