Coleridge semble confirmer le mot de Gœthe : "J’appelle classique ce qui est sain et romantique ce qui est malade". Mais n’est-ce pas parce qu’il fut un tempérament essentiellement dispersé, méditatif et fragile qu’il fut aussi l’un des romantiques les plus authentiques ?
Magazine Poésie
A propos de Coleridge
Publié le 15 octobre 2008 par Lauravanelcoytte
Coleridge semble confirmer le mot de Gœthe : "J’appelle classique ce qui est sain et romantique ce qui est malade". Mais n’est-ce pas parce qu’il fut un tempérament essentiellement dispersé, méditatif et fragile qu’il fut aussi l’un des romantiques les plus authentiques ?
