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Réclame

Publié le 17 octobre 2008 par Sebika

Réclame

Durant mes récentes déambulations diurnes, vous devinerez que je me rendais (cette phrase devient un peu trop récurrente) au Petit Palais.
Pour tout vous avouer, cet édifice n’a de petit que son nom… « petit » venant ainsi s’opposer à son aîné le Grand Palais, situé juste en face du premier.

Je découvrais ainsi (que la honte s’abatte sur moi) en début de semaine que le Petit Palais, outre le fait de donner l’idée qu’il est de moindre importance en regard de son grand frère, n’est autre que le Musée des Beaux-Arts de la ville de Paris.
Rien que ça.
Et depuis 2005 qu’il est ouvert (tout comme son snobinard de grand frère), il accueille gratuitement en son sein le public.

Réclame

Ces nouvelles données prises en compte (la gratuité aidant pour beaucoup… il faut avouer que mon budget sorties a été quelque peu dérouté par mes achats compulsifs différents qui me mèneront bientôt à l’Opéra, ce jusqu’au mois de décembre), il fallait que j’expérimente de plus près ce musée.
Une offre très alléchante… pour un final absolument éblouissant !

Je suis tombée littéralement amoureuse (encore oui !) de ce musée. Autant pour le lieu (je vous laisse découvrir son histoire par vous même), que pour les collections présentées.
J’ai adoré la muséographie. Ce choix de faire cohabiter – d’une façon absolument exquise et bien vue – toiles de maîtres et photographies contemporaines.
Les oeuvres se répondent, le regard est emporté dans un univers désuet et sensuel… et au gré des différents espaces d’expositions invité à voyager dans le temps, sous les yeux bienveillants des portraits sur papier glacé.

Réclame

Je suis toujours totalement envoûtée par ce lieux, ces riches collections (de l’antique au contemporain)… l’ambiance même de l’édifice. Ses marbres, ses dorures et boiseries… Et encore je n’ai fait que survoler l’ensemble…
Une contrevisite s’impose. Vite.

Et puis j’ai découvert une partie de l’oeuvre de Johan Barthold Jongkind, maître incontesté du non moins talentueux Monet…
Cette oeuvre m’a conquise :

Réclame

Johan Barthold Jongkind - Clair de lune à Overschie - 1855

Oh et puis il y a aussi une superbe toile de Claude Gellée (Le Lorrain) que j’adore et adule tout autant qu’un Turner…

Enfin, je redécouvrais les oeuvres d’Eugène Carrière… et je ne m’en lasse pas.

Eugène Carrière - Les Mères, v. 1900.
Eugène Carrière – Les Mères, v. 1900.

 Je vous quitte sur ces bons mots…

 Amusez vous bien !


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