Après les retraits du marché nippon de Sanyo et Mitsubishi, KDDI, le numéro deux du mobile japonais, a annoncé une baisse de près de 30% de ses ventes de téléphones mobiles cet été.
Information confirmée par les Echos via Silicon annonçant que les ventes de mobiles du nippon Sharp ont chuté de 38% entre avril et juin dernier.
D'où un nouveau modèle de vente, avec moins ou pas d’abonnements mensuels, avec pour objectif d’augmenter le prix des terminaux (le japonais change moins souvent de mobile que l'européen en général et le français en particulier) et de réduire celui des appels.
Alors ... vers une suppression de la pratique - ici courante - des mobiles subventionnés pour une marge beaucoup plus importante au final ? ça se calcule ... et ça pourrait être intéressant si les tarifs des communications et des données baissait de façon significative ... on peut toujours rêver :-)