"Si la série des "Iris" paraît manifester une virtuosité figurative d'un autre âge, c'est bien parce que dans l'alchimique mélange des pigments, de l'eau et des fibres du papier, Patrick Neu dévoilé discrètement – avec une transparence pour ainsi dire : cristalline ! – une parenté secrète, une identité profonde de substances et d'activité entre l'aquarelle et la fleur… "
Strasbourg, juillet 2007