Madame "le grebe huppé"

Publié le 21 octobre 2008 par Kamailion
Christine Lagarde née Christine Lalouette


Sur son joli balcon boisé, orné de 1000 plantigrades de diverses variétées, de son sublime appartement cosy, elle respire l'air pur de son quartier si douillet.
Il y de celà 20, elle à choisie d'y nicher.
Ce fut un choix judicieux, prolifique, puisque par 3 fois elle y a couvée et y a donnée la becquée.
Les verres s'y sont souvent levés, des rires éxagérés y ont éclatés, jusqu'à ce beau jour de juillet ou les boiseries ont tremblées.
Madadme "Le Grèbe Huppé" à pris une année et s'est souvue que 49+1 donnaient une cinquantaine bien tassée.
Un hurlement vengeur est sortit de son gosier malté, faisant fuire les jeunes damoiseaux de ce si serein sentier.
Elle se mirra, se contempla et constata l'incontestable vérité, sa peau tannée par le UVs faisaient ressortirdes rides trés marquées.
Ses paupières tombaient et biens d'autres atrocités.
"En faisant bref, le joli volatil de jadis aussi superficiel que fugace y avait laissait des plumes!"
Écoeurée par sa perte de pedigree, elle s'asseya et se mit à verser gouttes après gouttes.
Puis regaillardie, d'un bond se releva, s'examina dans son miraculeux miroir d'or qui lui refléta la réalité.
Des yeux bouffis et sans empreintes de vie, cernés, au maquillage coulant sur ses joues sans âges, dénuées de toute beauté.
N'ayant jamais cultivé son esprit, son corps aujourd'hui dépourvu d'intérêt, il ne lui restait plus que l'argent.
Mais l'argent n'achète ni l'esprit,
ni la contemplation d'autrui.
Au mieux, Madame "Le Grèbe Huppé" pouvait éspérer des travaux de rénovation;
mais étais-ce la meilleur des solutions?
Vu l'altération significative de sa plume devenue, si sirupeuse brume.