Magazine Journal intime

Mon degrès d'aliénation mentale ne regarde que moi/Piccoli dans "MADO"

Publié le 22 octobre 2008 par Series
A y est c'est reparti.
Ces derniers temps c'était pas la forme.
Des détails qui bloquaient les rouages de la grande roue de la LAÏFEUH.
Le rubiskub qui rend fou...
Là, ça y est, j'ai terminé une face, la jaune... couleur de l'espoir?
Je suis restée au pied du mur. A me tirer les cheveux. Cela fait mal.
De se tirer les cheveux, c'est comme de se crêper le chignon. Avec soi même.
Pathétique.
La phase suivante, évidente, c'est que tu en veux aux autres, allez zou!
Détourne ta frustration sur l'Autre, tu crois que ça va défouler.
Que nenni.
Alors ton corps tire la sonnette d'alarme et le train fait crrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr et s'arrête en rase campagne. Il fait noir, j'ai froid.
Seule tu es.
Ma petite existence semblait avoir pris une certaine cohérence.
Que je croyais.
A chaque fois je me fais avoir.
Ne jamais perdre de vue, OH NON jamais, que rien n'est figé, tout meurt pour renaitre.
La carte de la Mort ou de la Tour ébranlée, puis l'Etoile et enfin la Roue de Fortune.
On ne maitrise pas tout, on se croit Queen de mon World, mais not at all, not at all
(Van Damme sort de ce corps!)
De petits signes te rappellent au bon souvenir du Grand Tout.
Des conneries. La Vie dans toute la splendeur du Grand n'importe Quoi.
Un rire, une rencontre, de nouvelles perceptives.
Les pièces une à une qui s'imbriquent alors que tu n'as rien demander.
Le Temps qui avance malgré toi.
Des discussions avec des inconnus qui te font du bien, des contacts renoués, ma fillemabataille qui me donne des leçons de savoir vivre.
Vivre.
Parfois il ne faut pas chercher à contrôler mais juste se laisser aller.
Alors, ma Foi, repos, profiter, les Baléares en vue.
Zen, cool.
Respire, inspire.
Bonne bourre

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