C’est ailleurs désormais, ailleurs,
Cet au dedans où calme et bruit,
Entre le déchet et le fruit,
Entre les grâces et les pleurs,
Et où quelquefois se confondent,
Leurs estuaires renversés,
L’urne de l’âme transpercée
Du son de l’un, du son du monde,
Ailleurs, la poudre d’un bijou,
Toute l’idée de ton plumage,
De ton bel autre en son ombrage,
Dans mon sablier qui me joue,
Longue sonate au lent fanal,
Ailleurs, je sais, un terminal.