Tu es parti de l’autre côté.
Je n’ai pas pu te retenir.
Je n’ai pas eu les mots pour te sauver de toi-même…
Je t’imagine souvent dans ce monde que tu as choisi.
Je sais que tu veilles sur moi.
Une lumière éclatante dans un matin d’automne,
j’y vois ton sourire.
Des nuages qui se transforment en visage,
j’y vois un signe de toi.
Le ciel est devenu mon ami.
La terre, l’asile de nos souvenirs.
Entre nous, une passerelle invisible,
entre deux rives…
MLB – Texte écrit d’après un tableau de Prune Mateo – Sans titre