Lors d'un billet récent, je vous faisais par de la dépression post-déménagementale de mon chat. Eh bien, les médocs lui font visiblement du bien car dès qu'on les arrête, ça recommence. Il réclame tout le temps à manger. Par contre, le syndrome Obélix (il avait des visions et nous sautait dessus, toutes dents dehors, comme si nous étions des gros poulets juteux) a muté en un autre syndrome curieux : celui de l'aspirateur.
En effet, telle la Nounou des Teletubbies,
il traque la moindre miette de nourriture par terre (sleurp, sleurp) ce qui, quand on partage sa table avec des enfants, peut être un avantage, je vous l'accorde.Parallèlement au traitement, nous avons aussi mis en place une cellule psychologique où, en grande professionnelle multicartes, notre fée du logis nationale lui prodigue moult caresses et soins personnalisés :
Parviendrons-nous à sauver Babouche de l'obésité ? Vous le saurez dans le prochain épisode.