Je ne connaissais pas Wihelm Kempff, mais il ne devait pas être très drôle à la maison.
C’est parfait pour le célébrissime premier mouvement, appelé communément le « mouvement des dépressifs sur le bord de la fenêtre » (et dont l’écoute en service de psychiatrie est interdite depuis 1802), mais même pour le troisième, nettement plus enlevé, quand il est à fond, il ne respire pas la joie de vivre et l’enthousiasme.
Bon je me moque, mais l’interprétation est sublime.
(Je serais curieux de voir une interprétation faciale de cette sonate par le très expressif Lang Lang)