On s'est étalés, répandus fondus comme des fils électrique, une étincelle pointée sur la tempe de demain. Orvets moux sur le sable, les grains, des armées de c'que j'aime - chaleur = verre = liqueur.
"C'est quand le sens à perdu la vie que la vie perds son sens" répète-ça encore et encore, le corps sans dessous dessus - on va méandrer en bon ordre d'la fournaise originel aux fourneaux Kievites, glissant sur ma trainée d'appétit. Je m'applique, dans ma constriction affectueuse de l'infection constructive, j'écrase mon âme dans les anneaux d'ma chair molle, je prend la posture froide, imperturbable à couper/glacer l'sang et sa circulation. Mal damné, maudit d'travers avec la moitié d'ça encore - l'arroseur a rossé - l'art osé nauséeux ; érosion mal dosée - érotisme cabossé . Et eux qu'osent s'arranger en rang serrés ? Les mouches dans ta chair pondent leurs oeufs-dogmes, ont décousu la plaie, ouvert la porte à la gangrène. Chez moi y'a pas d'salon, que du vide et une ordure désordonnée. Je rampe sur le rempart du parquet. Rien à cirer. L'air que tu pompes est à moi. Celui que tu te donnes l'était aussi.
Ein spiele mit kinder, und ich bin töte. Auf der schwarz mutter - und mein blute weiss nicht gesang.
J'ai fait la guerre à mon sexe - regarde, ceux qui vont gémir te saluent ! Ils ont mâché le lard des années grasses, c'est comme avoir le mort aux dents. A la faim, tu mâches tes gencives comme un porc, enragé-rongé-rogné. Le sabot qui cogne sur la dalle du palace, mais pas las de cogner que dalle, le salaud. Un fourreau n'est pas fait pour ranger les armes : nos dents ni nos griffes ne se rangent dans la chair. Jamais dans notre chair. Arme fourbie par une armée fourbue de "moi".
Ta petite rétine concentrée viole et vrille le verbe, il est là pour ça non ? et putain, que le chemin était long. Unter-Littératurr, hein ? C'est qu'une Halber-Krieg sur du 220 volts. Avec le dos d'la cuillère, tapottes sur l'crâne dur des secondes de seconde zone. Celles à l'ennui crevant, épuisant. Parce que ceux qui vont gémir te saluent - regarde !
En la calle, piensas que este perro es muerte. Pero es lo que quieres ; la vida no se vas en el sangre deste tiempo. Y es claro que su aqua no puede hablarte.
On s'borne on s'cogne, on s'eau d'cologne et on s'orne d'oripeaux sauvages, sans âge - sages. Blush, gloss, peinture agacée glacée - les pintades qui gloussent, les paons qui font la roue, et derrière la machine les requins dinent. Nous n'aurions jamais du quitter le confort de l'océan. Qui aurait osé se moquer du pet s'il se signalait chez chacun d'une trainée de bulles ? Il n'y a pas d'aristocratie du colon, pas de noblesse du pancréas, aucune bourgeoisie chez l'intestin grêle. Ce monde là, ce microcosme est entièrement dévoué au service de l'estomac-esclave, celui qui rend des comptes à l'oesophage. Le frémissement du nerfs-de-la-guerre ? L'art-thérapie de l'artère "happy" résoud et résorbe le désordre. Pense ton environnement comme un corps renversé. Le trou-du-cul n'a rien à faire en haut, sa merde nous souille. Le cerveau baigne dans le sang, ne peut plus respirer. Et plus on bande, plus on a la queue basse dans le caleçon-cathédrale. Leçon-catharsis.
I became this maverick on the last factory's roof, I float far over my head, shooting tears on bullet-proof thought. The useless duty I have done, and now it's like lead boots, leaving me starving in this river of void.
La Surprise Divine, hein ?...