J’aimerais pouvoir crier la douleur,
De ce froid qui me prend, qui me terrasse,
J’aimerais te dire combien j’ai peur,
De t’avoir perdu, je trépasse.
Il y a tant que j’aimerais voir, tant que pleuvoir,
Ces dans ces moments que je pleure,
De ne pouvoir te sentir, t’avoir,
Une joute démoniaque se joue en mon coeur.
Le temps passe, mais les sentiments ne s’envolent pas,
La souffrance, le manque, la mort, tout cela,
Je les sens en cet instant, le désir de partager,
De vers toi, dans ce pays froid, voler.
— Eleken,
Le blues, la tristesse, j’y goutte sans cesse,
Et en moi rien ne cesse.