Bouffé par les mites, convulsé de tic, à quelle est belle la vie de pyromane spirituel, malade éternel. Quel affliction que de voir les victimes du feu, de la société peu d’envieux, mourir à l’envie devant la télévision, ricaner bêtement de leur dérision, absence de passion de motivation. Boulot, le chat fait le gros dos, voiture, torture, transport dépotoir et abime diffamatoire, seul survivent les faibles et les soumis, l’agonie d’un mon sans vie. Le réveil comme seul maitre, la pendule parmi les traitres, un patron, un soumis, un autre qui rit. Est-ce là la vie ? Et dormir, seul reste la liberté de rêver ? Mais pourquoi ne rêves-tu ? Les trains, les voitures, les tracas, les entrelacs, la vitesse, le temps qui passe, le bruit qui nuit à la réflexion, la flexion de l’esprit. Devant l’agression, il se durcit, se mure dans un petit monde connu, une boîte sur laquelle, sur ses murs, où il n’y a aucune porte. Ne pas chercher la porte, soulever le couvercle. Comme à l’égout mes pensée s’écoulent, se mêle à la cacophonie matinale, s’embrasse d’une soudaine passion, du passé à son évocation. Dans l’attente d’une autre vie, dans le désir de finir le cycle du désespoir, commencer à vivre, à deux à trois, à quatre, tic tac, le réveille sonne, tic tac, il faut se lever. Le travail n’attend pas, ma vie en parenthèse.
— Eleken,
doit préparer son oral de demain matin 8h30 à Lyon :s