Quelques pistes intéressantes

Publié le 19 décembre 2008 par Simpldespry

Me revoilà encore une fois replongé dans ma quête spirituelle à la recherche d’un sens à donner à ma piètre vie humaine égarée dans l’immensité de l’univers impitoyable qui l”entoure

La dernière fois j’avais compris que la vie avait un commencement, et peut être même une fin.. certains disent que son origine est matière qui s’est transformée au fil du temps

Par la même occasion, j’avais  émis le doute que la matière, à elle seule,  soit capable d’ expliquer tout et qu’il me fallait poursuivre les fouille plus profondément

Aujourd’hui je vais consulter trois autres penseurs, et qui sait, peut être qu’ils réussiront à mettre un terme aux doute qui ronge mon esprit

Pythagore (580 - 490 av. J.C.)

“Les principes de la vie sont, selon Pythagore, les nombres et leurs rapports (harmonies) et les éléments composés des deux (éléments géométriques)

“Mais il semble avoir ensuite introduit les idées de monade et de dyade : la monade est le principe de toutes choses dont découle la dyade ; la dyade est indéfinie, et est un substrat matériel pour la monade en tant que cause”

“De la monade et de la dyade indéfinie naissent les nombres, et des nombres les points, des points les lignes qui engendrent les figures planes ; les figures planes engendrent les figures à trois dimensions d’où naissent les corps sensibles composés de quatre éléments (feu, eau, terre, air) qui se transforment les uns en les autres

Xénophane (580 - 470 av. J.C.)

“Si les bœufs et les lions avaient des mains et pouvaient peindre comme le font les hommes, ils donneraient aux Dieux qu’ils dessineraient des corps tout pareils aux leurs, les chevaux les mettant sous la figure de chevaux, les bœufs sous la figure de bœufs.”

“Il loue ensuite le philosophe d’avoir fait Dieu incorporel et d’avoir dit : Unique et tout puissant, souverain des plus forts, Dieu ne ressemble à nous ni d’esprit ni de corps. Les humains, en faisant les Dieux à leur image, Leur prêtent leurs pensées, leurs voix et leurs visages

“Xénophane affirmait donc l’existence d’un dieu unique, sphérique, immobile. En même temps il rappelle que cette réalité ultime ne peut pas être connue avec certitude par les êtres humains dont la connaissance de la réalité se limite aux conjectures ou opinions. En même temps, il affirme qu’il est possible de se rapprocher graduellement de la vérité: Les dieux n’ont pas révélé aux mortels les choses cachées dès le commencement, mais en cherchant, ceux-ci avec le temps trouvent le meilleur

Parménide  (544 - 450 av.  J. C.)

“La doctrine de Parménide ne donne pas d’explications relatives aux origines des êtres.

Parménide oppose la logique à l’expérience : la raison est, selon lui, le critère de la vérité.

La pensée (il identifie âme et intellect), en suivant les règles de la logique, établit ainsi que l’Être est, et qu’il faut lui prédiquer des attributs non-contradictoires : il est intelligible, non-créé et intemporel, il ne contient aucune altérité et est parfaitement continu.”

La première voie de recherche dit que l’Être est et qu’il n’est pas possible qu’il ne soit pas. C’est la chemin de la certitude, car elle accompagne la vérité. L’autre c’est que l’Être n’est pas et que le Non-Être est. Cette voie est un sentier étroit où l’on ne peut rien apprendre.

Tu ne réussiras pas à couper l’Être de sa continuité avec l’Être, de sorte qu’il ne se dissipe au-dehors, ni il ne se rassemble.

L’Etre se parfaisant aux limites dernières
Il est tel que la masse arrondie de la sphère
Où du centre, un rayon, se propage en tout sens
N’admettant, çà ou là, plus ou moins de distance

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