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Aliments contenant du glutamate

Publié le 26 décembre 2008 par Annonymise
"Difficile d'y échapper !
Ces dix dernières années, on a accumulé une énorme quantité de preuves à la fois cliniques et expérimentales qui soutiennent ce principe de base. Pourtant, la FDA (Food and Drug Administration) refuse toujours de reconnaître le danger immédiat et à long-terme que présente pour le public l'ajout autorisé dans les aliments de plusieurs excitotoxines telles que le glutamate de sodium, la protéine végétale hydrolysée et l'aspartame. La quantité de ces neurotoxines ajoutée dans nos aliments a considérablement augmenté depuis leur introduction. Par exemple, depuis 1948, la quantité de glutamate de sodium ajoutée aux aliments a doublé tous les dix ans. En 1972, on en ajoutait 262000 tonnes métriques dans les aliments. On a consommé plus de 800 millions de livres d'aspartame dans divers produits depuis que cet additif a été autorisé. Ironie du sort, ces additifs alimentaires ne servent absolument pas à conserver les aliments ou à protéger leur intégrité ; ils sont tous utilisés pour modifier le goût des aliments. On se sert du glutamate de sodium, de la protéine végétale hydrolysée et des arômes naturels pour relever le goût des aliments, tandis que l'aspartame est un édulcorant artificiel.
Ces toxines (excitotoxines) ne sont pas juste présentes dans quelques aliments, mais, plus exactement, dans presque tous les aliments transformés. Dans de nombreux cas, on les y ajoute sous des formes déguisées, telles que les arômes artificiels, les épices, l'extrait de levure, la fibre protéique, l'extrait de protéine de soja, etc. Par expérience, nous savons que lorsque l'on donne à des animaux des quantités d'excitotoxines peu toxiques en doses séparées, on trouve chez ces animaux une toxicité complète, c'est-à-dire que les excitotoxines agissent en synergie. Par ailleurs, les excitotoxines sous forme liquide, comme celles que l'on trouve dans les soupes, les sauces au jus de viande et les boissons non alcoolisées à basses calories, sont plus toxiques que celles que l'on ajoute aux aliments solides ; c'est parce qu'elles sont absorbées plus rapidement et atteignent des taux plus élevés dans le sang.
On devrait aussi se rendre compte que les conséquences de ces additifs alimentaires appelés excitotoxines ne sont pas en général dramatiques. Certains individus peuvent être particulièrement sensibles et développer de graves symptômes et même mourir brutalement d'une irritabilité cardiaque, mais le plus souvent les effets sont subtils et se développent sur une longue période de temps. Tandis que les additifs
aimentaires comme le glutamate de sodium et l'aspartame ne sont probablement pas des causes directes de maladies neurodégénératives comme la démence d'Alzheimer, la maladie de Parkinson ou l'ALS, ils peuvent très bien accélérer ces troubles et certainement aggraver leur pathologie - comme nous le verrons. Peut-être que chez de nombreuses personnes ayant une propension naturelle à développer l'une de ces maladies ces troubles ne se déclareraient jamais s'ils elles ne s'exposaient pas à de fortes quantités d'excitotoxines véhiculées par les aliments. Certaines personnes pourraient juste souffrir d'une forme atténuée de la maladie, si elles ne s'exposaient pas à ces substances. De même, les excitotoxines véhiculées par les aliments peuvent être nocives pour ceux qui souffrent d'attaques, de lésions cérébrales et pour les séropositifs, et on ne devrait certainement pas en utiliser dans une structure hospitalière."

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