La soirée dénonciation a commencé ici. (cliquez ici si vous n'avez pas déjà lu la "genèse"). puis elle a continué à la salle Pascal Ambic (Université Champollion d'Albi) Au final, le concept a séduit beaucoup de gens, hélas, une minorité a joué le jeu: dire que l'on est accro au café ou que l'on n'aime pas les épinards est une maigre confession. Je tiens néanmoins à saluer le courage de Manon et celui de Nicole qui se sont véritablement livrées, avec les risques que cela comporte (le regard des autres a sans doute changé depuis leur "dénonciation").