J'ai quelque chose à vous avouer : depuis ma plus tendre adolescence, je suis un fan absolu du plus célèbre
détective anglais.
Mais non, pas Barnaby, bande de nazes !
L'autre.
Le plus grand des détectives.
Oui, c'est lui, Sherlock Holmes, le voici !
Il habite Baker Street,
Et poursuit Moriarty le méchant...
Lalalala...
Mais trêve de références télévisuelles antédiluviennes.
Ici, on parle cinéma.
Et je dois au trio Steven Spielberg / Barry Levinson / Chris Columbus un de mes plus grands plaisirs de spectateur : Le secret de la pyramide. Ce titre est la brillante et
pertinente traduction de Young Sherlock Holmes. Ils étaient super bons pour ça, dans les années 80 : c'est comme ça que Without a clue s'est retrouvé traduit en
Elémentaire mon cher... Lock Holmes... Mouarf !
Mais revenons-en à nos hiéroglyphes.
Le secret de la pyramide nous narre donc comment Sherlock Holmes et le futur docteur Watson se sont rencontrés... à l'école. Tout en apprenant à se connaître, ils ont dû résoudre une
terrifiante énigme pleine de meurtres inexpliqués, de tueurs égyptiens et de babas-au-rhum vivants. Tout en reprenant le "folklore" holmésien, le film distille des éléments de surnaturel qui
viennent pimenter le récit.
Porté par de bons acteurs et une musique parfaite, ce Secret-là préfigure sur de nombreux points l'univers d'un autre personnage british célèbre : Harry Potter.
Pour retrouver la bande-annonce, il suffit de cliquer sur Holmes et Watson :