Magazine Journal intime

les new-yorkais sont névrosés

Publié le 23 janvier 2009 par Spicynico

J'en sais quelque chose, je viens d'en avoir un en boutique.

Il apprend le français et trouve ça difficile, il le parle effectivement très lentement. Je lui propose donc mes services en anglais : maintenant que je suis revenu de Londres, je parle fluently*.

Il me dit que son boucher, son fromager, son poissonnier ne parlent pas anglais, donc il est obligé d'apprendre de manière accélérée avec eux.

Et donc il se met à parler en anglais... Mais il le parle aussi comme si c'était une langue étrangère.

* Oui, oui, vous pouvez rigoler, il m'a dit que mon anglais était excellent, enfin c'était avant que j'emploie à mauvais escient le verbe to mix à la place de to blend**.
** Yes it blends, pas la peine en conséquence de me coller un extrait youtube dans les commentaires merci.


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