Oui, je sais, le jeu de mots n'est pas terrible.
Vous z'avez sûrement un peu honte d'être arrivé là, maintenant, sur ce blog et vous vous dîtes qu'aucune trace de votre passage sur cette page ne doit être laissée. Vous ne laisserez donc sûrement aucun commentaire et vous z'avez raison. Oui, oui, vous z'avez raison !
Mais demain, c'est la Chandeleur.
Demain, c'est la Chandeleur ici et là-bas. Chez moi et chez vous. A Paris comme à New-York. Pas de frontière pour les crêpes. Des crêpes sucrées, des crêpes salées. Des crêpes chaudes ou froides. Des crêpes "home made" ou surgelées. Des crêpes en terrasse ou en salle. Des crêpes au coin du feu ou au bord de l'eau.
Des crêpes où vous voulez. Des crêpes comme vous voulez. Des crêpes comme vous les aimez.
Demain, c'est la Chandeleur. Demain, c'est au bureau qu'on chantera l'heure de la Chandeleur. Alors, ce soir, pour mes collègues mais surtout pour moi ;-) je me suis enfermée dans ma cuisine.
Résultat ? - les doigts gras à badigeonner ma poèle pour que ma pâte ne transforme pas mes crêpes en "chichi", - des minutes interminables à transpirer au-dessus de cette chaleur étouffante en attendant que la pâte étendue dans ma poèle brûlante se transforme en crêpes appétissantes, - les jambes lourdes à faire les 400 pas dans ma minuscule cuisine en attendant que chaque face de mes futures crêpes englouties demain en quelques secondes soit dorée, lisse et tendre.
Je vous en mets une de côté ?