Mon arrière-grand-père taillait dans le vif. Il était sculpteur sur bois.
Son truc, c’étaient les bondieuseries, chaires d’églises, stalles, bas-reliefs dédiés, etc.
Cul bénit? Peut-être… mais pas seulement. Il avait surtout compris tout le potentiel que son art pouvait représenter auprès de l’Église locale, financièrement épanouie. Il en usa abondamment, approvisionnant les paroisses quimpéroises périphériques, comme celle d’Ergué-Armel , de ses œuvres pieuses. C’était avant la création du Grand Quimper, c’est-à-dire la réunification des communes avoisinantes, chose dont s’occupa l’un de ses fils à la fin de son court mandat en 1960, peu après la première visite du général… ou bien était-ce peu avant ?
J’ai laissé la photo, résultat d’une pose sans doute assez longue, dans l’état, figeant l’aïeul comme dans une nébuleuse de poussières cosmiques.
Alors, ça fait quel effet d’avoir un arrière petit-fils qui n’a d’autre ambition que de faire des: