Ce n'est pas la première fois que le planning familal viole la loi obligeant à reporter à la police tout abus sexuel. En 2002, un juge avait déjà montré que le planning familial n'avait pas informé les autorités d'un abus sexuel sur une mineur de 13 ans par un membre de sa famille de 23 ans qui l'a amenée à la clinique d'avortement. Le silence du planning familial avait mené à nouveau l'enfant, 6 mois plus tard, dans une clinique d'avortement. Ces 2 derniers mois, 2 des centres incriminés ont licencié ou suspendu les employés incriminés, et des enquêtes on été lancées dans un centre du planning familial de l'Indiana.
Cette caméra cachée révèle que l'application de la loi n'est pas respectée à cause d'une "idéologie qui privilégie l'avortement à tout prix".
"En ayant l'avortement comme seule solution, le planning familail assiste les prédateurs sexuels en violant les lois qui protègent les enfants".