Quelques jours, dans l’humeur de l’hiver, je ressens cette tempête qui approche. Je sens l’orage et j’entends les éclairs. Alors pourquoi nier ? Le vent se lève, les volets battent, les branches s’affolent. Pourquoi nier ? La tempête approche, les oiseaux fuient, les animaux se terrent dans leur terrier, dans des souches, dans des creux. Ils le savent comme moi que lutter contre le temps, contre le vent et la foudre est inutile. Comment avoir raison juste de sa bonne foi face aux éléments furieux. Ils ne font pas de concession, ne cherchent pas la vérité. Ils veulent juste saccager ce qui a été construit. Juste détruire. Ô toi qui hurle, crie et piétine, regarde moi une seconde avant de me détruire…
— Eleken,
Je hais les lundis c’est sûr